C'était il y a 2310 ans...

Les Gètes ne sont pas aussi connus -et de loin- que leurs "descendants" (la question est toujours en débat), les Daces. Ces derniers ont connu leur célébrité durant les fameuses guerres que mena l'empereur Trajan contre Burebista et le puissant Royaume Dace, alors bien plus vaste que le pays des Gètes, et qui s'étendait et menaçait aussi bien la macédoine que la panonnie, tenus à distance du nord par les tribus germaniques. Les Daces de cette époque avaient étés envahis par les Sarmates et partageaient de nombreuses similarités culturelles. Les Gètes en revanche étaient un peuple principalement connu des grecs en 300 avant jc., ce depuis hérodote au Ve siècle av.jc., de très ancienne culture indo-européenne, et souvent assimilé aix Thraces, bien qu'ils aient constitué un peuple trop au nord et trop spécifique pour une pleine assimilation. Ils partageaient autant de similarités avec les thraces du sud que les scythes de l'est ou même que les germains de l'ouest. Au IVe siècle av.jc; les gètes faisaient partie du puissant Royaume Odryse fondé par Teres. Ce dernier unissait toutes les tribus du sud-est de la Thrace. Mais après la soumission à Philippe II et la partition de la Thrace sous Lysimaque, Les gètes étaient de nouveau indépendants et regagnèrent en puissance, faisant des alliances avec les souverains voisins du bosphore ou du pont, et en guerre contre Lysimaque. Leurs proches voisins, les Daces, de culture très proche, vivaient de l'autre côté des Carpates. Probablement avec un double mouvement venant des sarmates de l'est et des Daces vers l'est, les Gètes ne sont plus mentionnés qu'épisodiquement que durant les guerres Trajaniques.

L'armée Gète ancienne reflétait sa société, avec une infanterie de paysans (komati), "tête nue", des cavaliers nobles "tarabostes" et des prêtes "polistai". Les deux dernières classes avaient leur statut social démontré par le port du bonnet (lat.pileati), rouge pour les nobles, blanc pour les prêtres. Les prêtres de Zalmoxis, dieu unique Gète, ont peut-être combattu également, probablement à cheval. La cavalerie Gète était célèbre et redoutée du temps des Perses déjà, comprenant des archers et javeliniers montés à l'instar des Scythes voisins. Une puissante cavalerie et une infanterie diversement équipée (romphahia et faucilles, haches, épées celtes et grecques) pincipalement de javeliniers et combattants d'embuscade, des piquiers combattants en phalange, forment un ensemble surprenant mais néammoins efficace...

GETAI

This was 2310 years ago...

The getic people are not known as well as their possible descendants, the Dacians, which were famous under the trajanic wars; during the first century A.D. they became one of the fiercest opponents to the romans in the east, and influenced the legionary armour and equipments. But four centuries before Burebista and those daco-sarmatian peoples, the getae were known as a powerful kingdom settled north and south to the danube river. They were in contact with the greek colonies of the black sea (and greek influence), with the scythians in the north-east, some fierce germanic tribes and the dacians in the west (beyond the eastern carpathian mountains) as the thracians in the south. Since Herodotus, they are known as a thracian tribe, sharing numerous cutural similarities, but strong differences both religious and linguistic. The Getae were desunite since their unification under the powerful Odrysian kingdom in the IIIth century bc, and after the fall of the lattest under macedonian domination, regain autonomy and became more powerful as never before. The amy was more macedonian influenced, but still organised along the classic class division between the commoners (komati, wearing no cap), the nobles (tarabostes), and the priests (polistai), and relied upon local strongholds, roughly similar to the gallic oppida system. The whole army was organised upon this stratification.

The Getic army was renowned during persian rule, for its horsemen. Some of them were nobles, but the majority were mounted commoners. This cavalry was linked to the large danubian plains of what is now albania and romania. Amongst the "komati", peasant levies, most of them fightning with their sica (a short falx) and a bunch of javelins, were the "Epilektoi" or chosen warriors, some were poorely equipped, using only a deadly romphaia, other using greek, celtic, and thracian equipents, including mask-helmets, phrygian style helmets, thureos, and a specific scale armor. A phalanx tactic was also used by spearmen against lysimachos forces. The Taraboste nobles were given a recoignisable red soft cap, or scythian cap, but in campaign, more probably a tall bronze helmet similar to those golden one found in Sarmizegetusa, to accomodate their top-knot. They were versatile mounted archer-spearmen, using swords and axes at close range. Mounted archers were probably of scythian descent. In a while, this was a quite unusual and versatile army, which could be really effective with smart tactics...

Other Facts about Getics and Dacians, in CATW :

In CATW mod, you start (in Mundus Magnus map) at a modest scaled city, with a small territory and a small army. You start while playing the Getai, and later, with e difficult expansion to the west, you will able to seeking for the other side of the Carpathian mountains and then acess to the huge Dacian AOR, which is the next step of your evolution. In terms of units changes, your army access to less "greek-scythian style" heavy hoplites and light sica skirmishers, horse-archers, but more swords-brearing warriors, and of course the impressive Drapanai and elite Drapanai falxmen. Then, after conquering some independant cities here, the germans far away, the celts quiet and the macedonians struggling against illyrians and thracians, you will be ready to build your own "dacian empire" to prepare yourself for the final clash against the romans.

THE GETIC ARMY

For accurate description purposes, the Getic faction dispayed there is, like the scythians, subject to evolve due to absoption into another growing culture. In Getic case, it was the growing influence of the Dacians. closely related to the former, there is still doubt about their possible origins. One thing is clear, though, that the getai as a people are no longer written about during the last century bc. They were almost no mentions about a war that could occured between these two peoples and most agree to say that, unlike the scythians, they were peacefully integrated in this "new" people. It is true also that influences from the neighbouring scythians, southern Thracians, and amongst them Triballi, Mysian, Illyrians, Panonnians, Boians, and Bastarnes, not mention the most eastern germanic tribes and baltic peoples. The major greek influence came from the Macedonians and Epirus. These influences soured slowly within armaments and tactics although the common fact about all the getai tribes, each one rivals which another, had a common cultural ground, same language and religion, and same old society levels with komati and taraobostes that formed the whole army.
INFANTRY :

KOMATAI : Ce type d'infanterie levée en masse est en fait représentatif du genre chez les Gètes, sous un vocable bien trop vaste. Signifiant "chevelus" littéralement, les Comates se différenciaient des nobles et des prêtres comme n'ayant pas de bonnet, donc allant la tête nue. Le mot signifiait aussi paysan, mais sous ce vocable se cachait des statuts encore divers. La masse des troupes Gètes était issus de cette classe des "Comates". Les Gètes travaillaient la terre, ayant un statut de servage assez comparable à celui du moyen-âge. Il y avait également, à un degré limité, un esclavage domestique assez comparable à celui des nobles Celtes et un clientélisme tempéré par des structures d'obéissances très hiérarchisées. Les Comates directement levés le temps d'une campagne suivaient l'armée avec leurs outils agricoles. Les plus habiles et ayant quelque expérience usaient de leur sica pour faucher ls blés comme d'une arme, avec quelques javelots en complément. mais la masse des troupes, trop jeune ou trop âge, devait se contenter d'un pieu rarement ferré et d'un mauvais bouclier. La plupart renforçaient les effectifs des piquiers de seconde ligne ou gardaient le train de bagage.

KOMATAI : The very first kind of infantry common to the getics were peasant levies turned into simple spearmen, giving a simple light spear, usable for defence and to sustain attacks. It was no longer a campaign infantry, but a cheap reinforcement of fresh troops in emeregency. Like the Atecti of nearby celts, they were posted at the rearguard, to protect the baggage train and assist betters troops in labor duties. The komati, litteraly "haired" were called as such to differenciate to the Tarabostes, those who bears a cap, symbol of their status. Although beeing from the peasant class, they formed the bulk of the infantry, some beeing well-equipped.

KOMATAI AKONTISTAI : Tout comme les Acontistes Grecs, ces hommes jeunes et entraînés jouaient le rôle de peltastes en première ligne. Ils disposaient de javelots de bonne facture, d'un bouclier léger en osier recouvert de cuir, et comptaient avant toute chose sur leur célérité por survivre en première ligne, où ils arrosaient copieusement l'enemi à longue distance. En cas de contre-attaque de cavalerie, ils pouvaient se mettre à l'abri des piquiers derrière. Il ne fait presque aucun doute, vu la taille des douiles de fers retrouvés, que ces javelots étaient légers et conçus pour les longues distances, peut-être lancés avec lanières comme le Verutum. Ils pouvaient se défendre de près avec une dague, mais restaient assez vulnérables dans l'ensemble à une contre-attaque rapide et résolue sans support.

KOMATAI AKONTISTAI : This was the most current forefront infantry. Like among the celts, they were young men, with little experience of war, equipped with light wicker and leather shields, a bunch of javelins and a dagger for close-combat. Perfect skirmishers, they counted first on their agility to survive far beyond their own lines. This was their duty in scale battles, perfect for improving the skills and courage while not taking too much risks. Thy probably used light long-range javelins like the Cetic and Roman Verutum. In a general was it was the youngest part of the Komatai, light peltasts.

KOMATI SICAPHOROI : La Sica agricole servant aux champs était réellement l'arme de prédiilection des Comates, les paysans. Tandis que les plus forts étaient choisis pour anier haches, marteaux et surtout faux, les meilleurs et plus jeunes combattants issus de la paysannerie, vaguement entraînés, allaient au combat avec quelques javelots et leur courte Sica. Cette dernière était en général longue de 50 cm, et doté d'un manche assez long, courbée plus ou moins selon leur provenance. Les vraies Sica guerrières dérivées étaient relativement moins courantes, mais en général plus longues et moins recourbées. Leur protection se limitait à un grand Thureos et bois léger ou d'osier. Ces troupes préféraient l'embuscade à la bataille rangée, n'agissant que comme javeliniers, avec cependant de réelles capacités au combat de près, mais qui n'équivalait pas les troupes professionelles.

KOMATI SICAPHOROI : The Sica was the common short falx used by peasants for harvesting. It was not designed as a true weapon, but with time, true military version were used as a main weapon by experienced warriors. The Sicaphoroi, "sica bearers" were driven from the peasantry, and fought with their falx and a bunch of javelins, in the common way amongst getic and dacian warriors. Their scutum light shield was intended for maximum protection with minimal weight and dimensions. They were although much thicker and wider than their thracian equivalents. The commonSica was less frightening than its huge "sister" the romphaia. But it was immediately usable, and lethal if well used and sharpened. A close-combat weapon for sure, probably not able to pierce through the roman scutum. They were by nature, an ambushing infantry, less usable in pitched battle, and was composed of slightly experienced and trained pesant levies.

KOMATI GAEDOTOS : Certainement plus capables que les levées paysannes équipées de piques sommaires, ces troupes entraînées le temps d'une capagne, disposant de boucliers de bois, de javelots et d'une lance de deux mètres très proche du Gaiso Celtique, consituait le noyau dur de l'infanterie de ligne. Alternés avec les posrteurs de Sica qu'ils pouvaient défendre de leur lance, ils se complétaient admirablement. Le gros de piquiers de ligne reposait donc sur ces troupes souvent auréolée de quelques campagnes militaires, sans pour autant êtres des vétérans.Pour le combat rapproché, ils disposaient d'une sica ou d'une longue dague Gète, assez proche des Akinakes Scythes et Thraces.

KOMATI GAEDOTOS : Spearmen, in each celtic army, were the basic piched-battle infantry. They were proven, sturdy, versatile, and not cost as much as other warriors but were versatile, having javelins, and a gaiso, a sica or dagger for close weapon. They were of course the main "semi-professional" infantry amongst the komati, well-trained and chosen peasants, roughly comparable to the celtic Bagaudas. They were proven warriors, if not truly elite, well-equipped an skilled for every task. This kind od infantry was not well-protected and still vulnerable to arrows and other missiles, although having their wide wood thureos.

KOMATI PELEKOPHOROI : A chaque levée de troupes pour une campagnes, le chef de village local répartissait les rôles par âge, capacités et équipements. Les plus braves et forts héritaient du rôle de troupes de choc, avec des haches, marteaux de guerres et faux à deux mains, ames dérivées de la Sica mais bein plus lourde et redoutable. A l'instar des "frappeurs", les "Batoroi" Celtiques, lls étaient lancés sur les lignes adverses immédiatement après la fin des échanges de javelots. Certains s'élançaient torse nu, sans bouclier ni protection d'aucune sorte, ce qui reqérait un courage hos du commun, seuls ou presque, droit sur les boucliers ennemis. Ils étaient imédiatement suivis à quelques pas derrière par des troupes de soutien de l'assaut général et chargés d'ouvrir des brêches dans la ligne ennemie.

KOMATI PELEKOPHOROI : These heavy infantrymen were, like celtic batores, chosen peasants for their physical strenght. Most of them were foresters and especially carpathian mountaineers, Dacians and Costobosci. They had a tremendous reputation of brutal savages, accostumed to fight the germanic and celtic warbands which used to invade them frequently. These warriors were equipped with heavy weapons, usually maces or axes, shields and some light javelins before charging. Their main task was to crush the enemy's shields and piercing the line, allowing other units to follow them and exploit the gap. They are reliable, impressive, had good morale as far as they are not launched without support in a suicidal charge.

EPILEKTOI SICAPHOROI : Les porteurs de Sica d'élite étaient simplement des vétérans parmi les paysans, ayant survécu à plusieurs batailles et s'étant illustrés. Fiers de leur réputation, ils encadraient les plus jeunes et portaient en général une longue Sica proprement militaire, et une légère armure de cuir, parfois avec une coiffe de cuir en complément, à défaut d'un vrai casque, qui pouvait être pris à l'ennemi. Ils constitaient une force offensive bien plus efficace et apte au combat rapproché.

EPILEKTOI SICAPHOROI: This medium infantry was primarily "chosen ones" amongst the efficient and numerous Sicaphoroi. They were still equipped with a sica as main close weapon, and still relied on javelins, iron-tipped. They were not however given helmets, but a light and flexible composite leather jacket reinforced by bronze pieces. It was an affordable elite unit, although less powerful in attack than swordsmen, they still be very agile and highly skilled in close combat.

EPILEKTOI LONCHOPHOROI : Ces "lanciers" portaient les lances de trois mètres communes à la fois aux Hoplites et aux élites Celtiques combattant également en phalange. Vétérans de plusieurs campagnes, peut-être porteurs de bonnets d'autres couleurs que le rouge et le blanc en signe de valeur, portant une armure de cuir renforcée voir garni d'écailles, une faux ou un glaive en arme secondaire, ils étaient très disciplinés et aptes au combat en phalange en première ligne, au centre du dispositf quand il s'agissait de percer voir d'écraser le centre ennemi. Leur formation en phalange était en outre utilisée pour mener de front une marche avec les troupes moins protégées derrière, prenant la tête d'un dispositif en coin. Les Gètes infligèrent non seulement des défaites aux Perses, mais également aux Macédoniens. Philippe, le propre père d'Alexandre faillit mourir, les armes à la main au cours d'une campagne contre ces derniers. Ce n'est qu'avec l'entraînement Draconien de ses phalanges que les Gètes furent tenus à distance.

EPILEKTOI LONCHOPHOROI : The "Lancia", from the celtic three-meters type, was also used by some chosen foot units, not practicing the phalanx, but for attack and defence, beeing capable of the usual celtic shieldwall. Their secondary weapon, was, as always, the sica. They were well-protected, skilled and sturdy, aged and proven warriors, forming the wings of the phalanx. They differed from the Getic "hoplites" (see later) while beeing picked-up soldiers, experienced, from the mass of Komati spearmen, and used at best for anchoring a line and defensive action. They were equipped with a Sica for close-combat, but with limited skills however.

THRAIKOI EPILEKTOI ROMPHAIORIOI : Pour percer les lignes ennemies ou simplement faire du dégât en mêlée, les Gètes avaient suffisamment d'or pour s'offrir le services de nombreux mercenaires thraces tous proches. Les plus appréciés étaient les porteurs de Rompahia, de préférence d'élite, lourdement protégés et très aguerris. Armés de ce grand instrumenbt de mort polyvalent, ils pouvaient se frayer aisément un chemin à travers les lignes ennemis, permettant au reste de la troupe de les suivre.

THRAIKOI EPILEKTOI ROMPHAIORIOI : This kind of elite infantry used the Romphaia, attributed to the Dacians, more than to the Getics. Although, various Thracians peoples manned this frightening weapon, able to cut through a roman scutum as in butter. The Rich Getics could have raised in some southern Thracians tribes the best warriors trained to use this weapon, serving as an elite heavy auxiliary infantry. Their main task was to break the cohesion of an enemy line, allowing other troops to exploit the gap.

GETIKOI HOPLITAI : Le nom de "hoplite" fut attribué aussi bien par les Perses que par les Macédoniens eux-mêmes qui les affrontèrent. En effet, à part le port de pantalons, digne de "barbares", et d'un grand scutum à la place de Hoplons, ces piquiers d'élite travaillaient en parfaite cohésion, formant avec célérité la phalange ou même la tortue. A jouté à leur excellente capacité de combat rapproché, ces troupes issues de la paysannerie (en réalité des propriétaires fonciers et citadins aisés pouvant s'offrir cet équipement), mais aussi des nobles combattants à pied, formaient ces unités de première ligne, capable de bousculer n'importe quelle infanterie, même la plus aguerrie. Porteurs d'un casque de type phrygien, très décorés, d'une armure de cuir portée brute ou retournée, ces guerriers étaient les équivalents des Cingetes et occasionnellement les "clients" de leurs seigneurs locaux, lesquels vivaient dans des citadelles sur le modèle des oppidum Gaulois.

GETIKOI HOPLITAI : The name "hoplite" was derived from the greek originals. They bears many way of fightning, including and adpatation of the phalanxes and tortoise formations wass known by celtic peoples. They fought with a reinforced and wide thureos, a leather armor, a bronze helmet, a 2,50 meters Lancia, and a Sica for close encounters. They were not "komatai" although classed as such, beeing the few elite troops educated from the beginning for the service of their masters, the Tarabostes. So they were from far the more trustful and loyal troops around.

GETIKOI EPILEKTOI HOPLITAI : La plupart des troupes d'élite de première ligne étaient formées de Tarabostes à pied. Autant dire qu'ils étaient relativement rares et estimés. A l'instar de la troupe, ils étaient armés de modèles de Sica de fer très ouvragés, et parfois d'une machaira en complément. Leur grand bouclier pouvait être occasionnellement recouvert de bronze, leur casque en fer était complété par une armure en écailles de bronze, plus fréquents dans cette contrée que la côte de mailles. Certaines unités de "hoplites" de ce type formaient la garde à pied du Roi ou du général.

GETIKOI EPILEKTOI HOPLITAI : The best infantrymen ever were these wonderfully equipped elite hoplites. They just as impressive as some foot tarabostes could be, with tremendous skills and experience of war. Such infantrymen were a kind of foot royal guard, recruited among the best by their prince. They guaranteed a strong anchor when a line was wavering. Their sight was superb and they frighened by their superior morale and impressive sturdyness, with both the spear and sica or greek machaira for close combat. The name "hoplite" and their tactic was directly an adaptation to the use of the scutum by these troops, and a shieldwall offensive close order. Some of them could have been promoted as tarabostes as an honor winned in battle, but retained their kind of combat style.

GETIKOI SPHENDONETAI : Ces frondeurs Gètes se recrutaient principalement sur la côte, où les cailloux abondaient, mais aussi la menace des Scythes. Ils étaient recrutés parmi les éleveurs et bergers locaux, et complétaient les archers en première ligne ou pour des embuscades.

GETIKOI SPHENDONETAI : On the eastern coastal part of the getic country, and banks of the danube, slingers were more current. They were recruited as auxiliaries among local shepherds, and lighlty equipped. Like celtic slingers, they used raw projectiles, usually calibrated or shaped stones, especially flintstone ones. With a little leather shield, they were hardly protected against missiles. But they were cheap and relatively accurate, beeing deadly just as skilled archers, usually posted with the long-range javelineers.

GETIKOI TOXOTAI : Les Gètes étaient fameux et respectés pour la qualité de leur archerie. Ces derniers formait une part considérable de l'infanterie et était caractérisés par leur polyvalence. Recrutés parmi les montagnards et forestiers, ils recevaient des dagues et Sica, parfois des armures de cuir, et opéraient le plus souvent en missions de débordement ou en première ligne, en préparation de l'assaut. Leur seule menace était une contre-attaque de cavalerie, quoiqu'il n'est pas impossible qu'ils aient disposé d'une position de repli garnie de pieux... Contrairement aux Scythes, ils utilisaient des arcs locaux d'une pièce, mieux adaptés au climat local, mais d'un rayon d'action inférieur aux puissants arcs scythes.

GETIKOI TOXOTAI : A very current unit among the Getics, they were not modelled however after the neighbouring Scythians, using local simple bows, and beeing primarily driven from local hunters. They were efficient and reliable, however, and particularly when used at skirmishing. If needs, they can ever seize a spear to defend themselves against any light cavalry, but been easily routed as well by an heavy cavalry charge.

GETIKOI EPILEKTOI TOXOTAI : Ces archers d'élite Gètes tardifs étaient une forme d'infanterie polyvalente assez proche des archers d'élite Scythes et sarmates mettant pied à terre, ou des redoutés Thureopherontes Bosporans. Quoique pas aussi polyvalents, ils diposaient de bonnes épées pour e combat rapproché et d'un bouclier porté au dos pour dégager leurs bras. Des armures d'écailles et casque en fer Thraces, équipements dignes de Tarabostes, en faisaient une élite capable de combattre en mêlée en renfort des troupes habituelles.

GETIKOI EPILEKTOI TOXOTAI : Versatile eastern troops modelled after the Bosporan thueropherontes and other eastern elite archers, they were heavy infantrymen fightning as dismounted taraboste archers. They get thracian or attic superior quality helmets, scale armors, a shield, a xiphos sword, and an european powerful longbow. This made them usueful as a tactical superior elite infantry, good a shooting and fightning closer with superior skills as well.

CAVALRY :

KOMATAI HIPPEIS : Les nobles n'étaient bien entendu pas le seuls à disposer de chevaux. Des paysans et petits propriétaires terriens disposant de monture formaient une part très importante de la cavalerie Gète; levés en masse. La plupart étaient d'excellents cavaliers, pêchant seulement par un manque de protection et d'entraînemet, quoique la plupart d'entre eux se recrutaient au voisinage des Agathyrse, redoutables cousins germains des Scythes ... Une sica, et un armement polyvalent de plusieurs javelots de lancer ou pour combattre de près, formaient une combinaison efficace, le reste reposant sur un minimum de coordination et de célérité.

KOMATAI HIPPEIS : These light cavalrymen were komatai horsemen, weatlhy enough to afford a horse. They were numerous, and formed the "levied" part of the cavalry, largely overwhelm regular "tarabostes" units; and beeing probably the few part of the mounted "komati". They bears a light composite shield and perform mostly support skirmish actions and scouting, beeing not procted at all but counting on their horsemanship and agility. Although they have been equipped with an akinakes or sica for close combat, their lack of protection would been made them piecemal by any skilled infantry. So a spear was more common, to maintain a defensive distance with the infantry when closer. It was also prfect for chasing duties, for killing routed infantry units.

TARABOSTAE HIPPEIS : Mieux équipés que les cavaliers paysans, ces nobliaux possédant de petits domaines et clients de seigneurs locaux rejoignaient le reste de la cavalerie à la guerre, dont ils formaient la part majoritaire. Reconnnaissables à leurs bonnets trouges, privilège des Nobles, ils étaient diversement protégés, certains par un simple palstron de cuir, d'utre par une armure partisiellement garnie de clous ou d'écailles, et d'autres de simples peaux de bêtes retournées. Leur bouclier de bois leur assuraient une excellente protection, et ils pouvaient compter sur leurs petits chevaux rapides pour rester à l'abri des troupes aguerries. Après avoir arrosé l'ennemi de javelots, ils pouvaient combattre de près, la plupart avec une Sica ou une épée Grecque.

TARABOSTAE HIPPEIS : This were mounted peltasts/sica bearers, and they were lesser nobles, possessing horses. They formed the bulk of the cavalry, displayed in large squadrons for scouting, harrassing, reinforcement and chasing routed units. The main attack was performed some skilled and better-protected tarabostes. In the battleline system, they were usually posted at the front wings, or external wings, and were launched first with the mounted archers to surround the wings of the enemy.

TARABOSTAE EPILEKTOI : Les plus aguerris, les mieux équipés et entraînés, dès leur plus jeune âge, de ces nobles à cheval étaient ces cavaliers d'élite. Disposant de meilleurs chevaux, plus grands et solides, d'une suite leur fournissant leur équipement et les accompagnant, d'un équipement supérieur incluant armure d'écaille, presque impénétrable, casque en bronze ou en fer, lance, javelots et armes secondaires, souvent achetées ou faites sur mesure par des artisans Grecs de la côte, de même que leurs casque, ils étaient la fine fleur de la noblesse Gète. Magnifiquement équipés et surentraînés, cultivés et lettrés en Grec, loyaux à leur Roi bien que seigneurs eux-mêmes, possédant des forteresses dans tout le pays, ils étaient les équivalent Antiques des chevaiers féodaux, rassemblant pour la guerre leurs gens de pied, les "Comates", et partant avec leurs gardes et leurs clients. Ils portaient en temps de paix de magnifiques tuniques longues avec d'amples capes brodées et leur typique bonnet en général cerclé d'une couronne décorée, recouvrant leurs cheveux portés en chignon. tout comme les guerriers Nobles Scythes, ils arboraient fièrement leurs médailles décoratives et leurs bijoux en or, de même que de magnifiques casques ciselés avec art de motifs floraux et de têtes d'animaux, dont le griffon était la star incontestée. Un porteur de Draco (le "dragon" venu des Scytho-Sarmates et donnant la direction et la vitesse du vent pour les archers) les accompagnait à cheval, suivi du héraut.

TARABOSTAE EPILEKTOI : The better part of the cavalry was of course an elite within the whole Tarabostes. Often the real sense of the world is obvious, historians agreed that they were dubbed like the "capped ones", those who used a soft cap to differenciate from the commoners. The priest class used white caps as the nobles used red caps. But this feature was decribed during the persians wars. In 300 bc and after, most of them used helmets instead of caps, and scaled armos for war. The scaled armor was a real "trademark" of eastern europeans, probably derived from scythian armors. It was a possible ancestor of the the later chainmail, and in 300 bc it was still quite cheaper. Later dacian tarabostae probably used more chainmails, notably because of the evolution of warfare and roman influence. These Tarabostae were versatile cavalrymen, able to act as lancers, skirmishers, and fighting closer with various weapons like longswords and battleaxes. Scythian influence was probably also predominant.

TARABOSTAE HIPPOTOXOTAI : Dans le nord-est du pays Gète, les voisins immédiats des scythes étaient les Agathyrses. Une fois soumis par es Gètes, ils founrirent d'excellentes unités, mais influencèrent également l'équipement des nobles Gètes du Nord. ces derniers, habitués aux raids incessants de ces nomads farouche, apprenaient l'art élitiste de l'archerie à cheval. Ainsi les Gètes étaient les seuls à faire face aux Scythes en Europe, et à disposer de nombreuses unités d'archers montés, cas unique en Europe. Montés sur de grands chevaux rapides mais bien protégés, équipés d'amures de cuir garnies d'écailles et de casques d'influence Grecque ou plus typiquement Gète, ces cavaliers disposaient d'une panoplie complète incluant arc, épée, dague, hache, javelots et même Kontos, qui pouvait être démonté en deux parties. Ils paryaient à la guerre avec leurs gens, également d'excellents cavaliers des plaines montant de peits chevaux très vifs.

TARABOSTAE HIPPOTOXOTAI : Also a product of a long warfare against the Scythians, these mounted noble archers were modelled after the Agathyrsi noble horse-archers. They were given a complete scaled armor, a composite European bow, a greek-style helmet, usually attic or chalcidian in shape, wirh leather neck guards, an legs scaled leather panels. Their hose was also usually protected. Their seconday armament was made of swords, axes, sica or akinakes, but they were usually given by their retinue, posted at the rearguard of the action, some kontos when they were short of ammunitions. Then, they formed a powerful unit of lancers, able to support the Tarabostes final charge.

BASILIKON TARABOSTES : Ces gardes Royaux Gètes formaient l'escorte rapproché du Roi en campagne. Montés sur les chevaux les plus chers en Europe, équipés de manière aussi splendide que les Nobles Scythes, ils étaient avant tout une garde rapprochée, mais pouvant charger de manière décisive au moment opportun, suivant le Roi. outre leurs classiques armures d'écailles de fer ou de bronze, leurs casques étaient de heutes et belles pièces d'ofrèvrerie mélangeant fer etpièces d'or finement ciselées. Animaux et motifs organiques avaient la primeur. Ces casques étaient souvent hauts et terminés par un sommet plat, ou se logeait leurs cheveux rassemblés en chignon. Tout comme les scythes, ils utilisaient une épée longue pour le combat de près.

BASILIKON TARABOSTES (early bodyguards) : These were the cream of the Royal getic cavalry, a bunch of chosen nobles which formed the bodyguard of the king in battle. Mounted of huge eastern horses, heavily decorated like nearby scythians, and well-protected, they fomed the elite cavalry of the Getic kingdom. We don't know exaclty if they were nobles from the highest rank serving with the king as the macedonian companions, or picked-up client nobles in a celtic way. They were given superior quality scale armors, and various helmets with local shape, heavily decorated, often with bronze, gold and iron pieces. Their top was high to accomodate their long hair knot. They were given aslo a high quality longsword, roughly comparable to the scythian and celtic models, and an akinakes. Keeped in reserve for the most thrilling actions, they were used with brute force to open a breakthough in enemy lines or charge on the flank or back of the enemy, in a decisive way. They were supported by all other tarabostes for such action, manning their celtic-style three-meters long lancia with large spearheads.

GETIC AOR :

AGATHYRSI TOXOTAI : Les Agathyrses et les Gelons étaient deux importants peuples séparant les Gètes, appartenant au grand peuple Thrace, des Scythes, nomades venus d'asie centrale. Les Agathyrses étaient probablement des Thraces, ancêtres indo-Européens des premiers Celtes selon certains chercheurs, mais qui avaient adopté le mod de vie semi-nomade des Scyhes, leurs voisins immédiats. Leurs rapprots sont mal connus. Mais autant que les auteurs antiques s'accordent à les définir comme Géto-Scythes, les Agathyrses furent probablement l'objet d'intermarriage avec les tribus Scytrhes voisines, ne serait-ce comme pratiques de bon voisinage, coutûme des peuples isolés dans la grande steppe. Les Gètes eurent à les affronter, mais ils firent partie à terme de la onfédération Gète, et devinrent le rempart, sinon l'intermédiaire entre Scythes de l'ouest (La "Scythie mineure") et les terres Gètes allant jusqu'à la rive nord du Danube. A terme, ces troupes fournissaient d'excellents auxiliaires, équipés à la manière des Scythe, avec arc composite, Gorytos, Akinakes et hache de guerre.

AGATHYRSI TOXOTAI : These light infantrymen were closely related to the Scythians, and seen themselves as blooodbrothers of the Scythians. They pobably formed the bulk of the Agathyrsian infantry, with light spearmen, and acted as dismounted horse-archers. They skilled archers, using composite scythian bows, allowing greater range, accuracy and a deadly rate of fire. The Agathyrse were known as fierce and independant peoples, remaining a long time an enemy of the Getic kingdom. They were tattoed and their hair painted in dark blue (Herodotus). The nearby Geloni was another "thraco-scythian" tribe, closely related to the first. Although not well-diciplined, they would form apprectiated auxiliary archers in any line of battle, both for the Getics and the Dacians.

GELONI HIPPAKONTISTAI : Les Gélons étaient une peuplade de la galaxie Scythe, installés très à l'ouest et voinsins immédiats des Agathyrses et des Gètes. Semi-sédentarisés et parlant le Grec (au moins les élites), ils commerçaient avec le Bosphore et les cités de la rive ouest de la mer noire. Selon Hérodote ils étaient installés parmi les Agathyrses et même les Gètes, et il est possible qu'il fassent partie de leur cavalerie auxiliaire, comme c'est le cas de ces hippacontistes armés à la légère.

GELONI HIPPAKONTISTAI : These light cavalrymen were from the Geloni, a powerful tribe amongst the western scythians. They were a "semi-civilized" greek-speaking people, according to Herodotus, one of those who settled beyond the Istros (danube). They were known to be allied to the Agathyrses, and a part of the Scythian federacy. They would have been subjected also the the bosporan kingdom. They fought with various weapons like many scythians, probably javelins as well as bow.

AGATHYRSI HIPPOTOXOTAI : Composant une grande partie de la cavalerie Gète, les auxiliaires Agathyrses étaient d'excellents cavaliers, polyvalents et féroces. Habitués aux tactiques de raids rapides des Scythes, ils submergeait l'adversaire de flêche à un rayon d'action et une vitesse qui rendait la réponse illusoire. Seuls de leur genre en Europe, ils fuent ensuite assimilés aux Sarmates près de deux siècles plus tard. Selon Hérodote, les Agathyrses se teignaient les cheveux en bleu sombre pour partir à la guerre (de même que les Bastarnes) et étaient tatoués comme les Scyhes, d'une manière correspondant à leur statut.

AGATHYRSI HIPPOTOXOTAI : These units were a product of incessant warfare against the nearby Scythians. In fact, this was the most appropriate reply. Some eastern getic peoples were themselves more scythians than getics but still under Getic king rule, like the Agathyrsi. The Agathyrsi were a fierce and renowned peoples who seems themselves as scythian bloodbrothers. They were tattoed in a way which was proper the their status and their hairs were painted in dark blue (Herodotus). Beeing a Getic auxiliary cavalry, they became a model of a successful light horse-archer unit, the only of this kind in Europe. At close range, they fought with common weapons as daggers, sica, and axes.

SKYTHOI HIPPOTOXOTAI : Bien que les Scythes furent longtemps des ennemis des Gètes, ces derniers étant vus comme un bouclier aussi bien pour les Thraces que les Macédoniens et les Grecs en général, ils fournissaient aussi des esclaves Scythes capturés, et convoyaient des mercenaires Scythes nombreux vers les cités grecques, notamment Athènes qui en était grande recruteuse. La galaxie complexe des tribus Scythes de l'ouest faisait que certaines de ces tribus nomades gerroyaient contre d'autres semi-sédentarisées. Les Gélons, étaient par exemple des alliés des Gètes, avec les Agathyrses, et firent partie en tant qu'auxiliaires des forces Gètes qui repoussaient régulièrement les attaques d'autres nations Scythes belliqueuses. La cavalerie Scythe était bien entendu également une unité redoutable sur le champ de bataille comme les Perses et plus tard les Macédoniens et les Thraces s'en rendirent compte.

SKYTHOI HIPPOTOXOTAI : Although beeing a long time fierce enemies of the Getics, which were seen by many Thracians like the shield of Europe against this threat, the Getai were wealthy enough to hire some scythian mercenaries. Scythian horse-archers were of course extremely skilled and useful against celtic, germanic or bastarnae western cavalry that they completely outrange and left unprepared. It is also probable that these scythians used western-built bows, probably always composite, but better built to avoid beeing wet quickly. They fought with various weapons including javelins, battleaxes et daggers like the Akinakes.

LATER DACIAN ARMY (approx. from 50 bc)
There are still many discussions about historians on the facts that the getai disappeared when the dacians became more present and visible in ancient chronicles. But almost everybody is agree while saying that there were, at one point, two different peoples, which were aproximatively classed as "northen thracians". The last wearing trousers and warmer clothes. In some ways, they were a mix of thracian, scythian, germanic and celtic cultures, all this mixed with a strong greek influence. The Daioi, as they were named after the very first mentions, were the first named given to that sub-group of these northern thracians, apparently under Getic sovereignty, most authors agreeing that they could have been even a subgroup of the Getai which settled there, on the western part of the Danube and separated by the Carpathians. It is also possible that, after nearly century of constant warfare against the Germanic tribes, the bastarnae, the Celts, these Dacians became stronger as the the getics entered a slow decline. The last were constantly threatened by Scythians, and when the last were ripped off, by unstoppable horses of Sarmatians, which ultimately destroye or assimilate them. It is possible also that Getics emigrated en masse beyond the carpathians and mixed with the Dacians, which inherited a part of their Greek-influenced culture. In fact, the dacians are relatively quiet during centuries, as probably too weak then and constantly in war against the Germanic Marcomanni and the Sarmatians. They were simply the people who settled beyond the eastern European roman empire borders. Staying never really "pacified", they ultimately began to make speak about them when Burebista united all subgroups into a single kindom, ad then assimilate, by force of by gold and intermarriages, bordering peoples, have an alliance with the Marcomanni and the Sarmatians, and created what was called this time, on the first century bc, the "dacian empire", stretched from western pannonia to the black sea. What follows is well known and called "the trajanic wars". CATW beeing played from 300 bc, the dacians would be playable as an AOR faction, and this army was probably not subject to changes.

DACII GAESATAE (variantes) : Formant le gros des ligne de batailles Daces, ces piquiers différaient des "Comates" Gètes par leur rôle plus statique sur le champ de bataille. Tout comme les Celtes qui employaient des paysans entraînés pour la guerre le temps d'une campagne, les fameux "Bagaudas" ces piquiers légers soutenaient les troupes d'élites en arrière garde. Par leur nombre, on général pouvait les utiliser également à garnir les flancs, soutenir la cavalerie, et protéger l'arrière-garde et le train de bagages. Bien que volontaires et d'un bon moral, les paysans Daces restaient d'un usage limité face aux légionnaires Romains dont l'excellente armure, la discipline incomparable, les pila et le glaive faisaient une boucherie, même avec un nombre très supérieur d'effectufs.

DACII GAESATAE (three skin variants) : These basic infantrymen were the backbone of the dacian armies. They were roughly comparable to the Celtic Bagaudas, beeing peasant (Comati), which were given a lenghtened gaiso spear and an average shield. Like the Bagaudas, they were mustered by local warlords to be part of a campaign army. They were trained and far more skilled than local levies. Beeing mostly defensive due to their weapon, they constituted the main part of the whole infantry, protecting the second line and reinforce the first line if needs. Their sheer number was well-used against cavalry. Some of them protected the baggage train as well.

DACII HASTATII : Nommés d'après la "hasta" décrite par les Romains, il s'agissait en fait de piquiers lourds, expérientés et disposant d'amures légères de cuir, et parfois de casques légers. Equipés de dagues ou de Sica pour le combat rapproché, leur force résidait d'abord dans leur discipline et leur cohésion. Unité défensive parfaite, elle était surtout définie pour former un mur de lance mouvant au cente d'une ligne de bataille Dace. Tout comme les anciennes tactiques Gauloises où les combatants d'élite armés de lances prenaient place au centre et avançaient en phalange pour briser le front adverse, ces piquiers lourds formaient le fer de lance de l'offensive, soutenus par de très nombreux piquiers légers issus de la paysannerie pauvre, et protégés aux ailes par des épéistes et javeliniers rapides ansi que la cavalerie pour empêcher tout contournement.

DACII HASTATII : Named after the Roman "hasta", they were chosen spearmen from the Dacian warbands, bearing leather armors, heavy shields, lances (hasta), and daggers for close combat. They were skilled and experienced, middle-aged and perfect for defensive actions. They were probably far more current that Dacian hoplites, as the name hardly survived. Discipllined, they formed the first-line of the dacian infantry, allowing the attackers to make quick skirmish actions and return under the protection of their spears. They were also designed to push forward and break the enemy center, just as celtic cingetoi and were probably equivalent to them.

DRAPANAI (variantes) : Probablement les plus fameux combattants Daces, ces guerriers étaient en fait des paysans choisis ayant à peu près le même rôle que les "Batoroi" Gaulois. Choisis pour leur force physique, ils chargaient les premiers les lignes ennemies de manière à bouculer et pourfendre les Scutums Romains, permettant à d'autres troupes de combat rapproché d'exploiter la faille. La faux Dace avait quelques points communs avec la Romphe Thrace, comme la longue lame et le long manche dans lequel elle était fichée, mais la lame était bien plus recourbée, ajoutant encore de l'efficacité aux coups de taille. Contrairement à la Romphe, on ne pouvait les utiliser à rien d'autre. Alors que la hache à deux mains était comme le marteau destinée à avoir un effet de percussion qui pouvait faire sauter le Scutum des mains du porteur, la faux, comme les essais de reconstitution le montrèrent, se plantait dans le bouclier adverse et était capable de passer facilement à travers une côte de maille, même au niveau des épaules, pourtant doublé. Une fois le Scutum "haponné" par ne faux, il devenait facile pour ces combattants de la retirer des mains des légionnaires, les laissant exposé aux coups d'autres unités. Les faux de ces Drapanai furent un véritable cauchemar pour les légions de Pannonie et Burebista infligea deux défaites cuisantes à Rome grâce notamment à leur action. Cela eut une profonde influence sur Trajan, excellent tacticien et proche de ses troupes, qui ue fois empereur, crée un nouveau type d'armure, la Lorica hamata, et des améliorations qui firent du légionnaire Romain l'infanterie lorde cuirassée qui est resté mondialement célèbre. Les Daces, comme par le passé d'autres Nations, ont eu un impact direct sur l'équipement et les tactiques du du légionnaire Romain...

DRAPANAI (variant skins): These well-known infantrymen, perhaps the more famous of the Geto-dacian army were chosen comati equipped with big falxes. The last was a frightening weapon, but it has little to do with the Rompahia, as is was a derivative of the sica, widened, lenghtened, and fixe in a two-hand hanging. It was powerful enough, as the legionaries soon learn, and many experimentation shows, to cut through any roman scutum, and easily find a way through the roman chainnmails, even the brand new metal plates that many legionaries have then. The roman legionary armor and helmet soon evolved toward more protection against these terrific blows. The drapanai were not protected at all, mostly to be more free of movements. They didn't have place to a shield but perhaps some veteran drapanai could have taken helmets.

DRAPANAI EPILEKTOI : Bien qu'il n'y ait pas de descriptions de ces unités, les Daces disposaent de nombreux paysans dotés de faux et utilisés comme troupes d'assaut. Parmi ces derniers, les vétérans diposaient plus probablement de fau plus petites leur permettant de dégager une main pour recevoir un bouclier. En effet, les Romains avaient appris à négocier une charge de ces "Drapanai", qui comme les Gaulois allaient torse nu pour l'agilité en première ligne. Pus âgés, ces Drapanai formaient une unité d'élite destinée à faire face au dense barrage de pilums qui clouaient sur place les charges des Drapanai Daces. Cette protection restait légère et leur permettait de rester agiles faces aux légionnaires Romains, lourdement cuirassés en période tardive. Le formidable pouvoir tranchant de leurs faux dût donner des sueurs froides aux vétérans des légions les plus aguerries...

DRAPANAI EPILEKTOI : These very skilled falxmen were just chosen men amongs the Drapanai, which were themselves chosen men amongst the Komati. They were well protected, although having only leather cuirass, light and flexible, the arms and shoulders beeing kept free. These units have no depictions but those of elite falxmen among the Dacians, as they were also Thracian mercenaries using with devastating results the Romphaia. These elite falxmen were a response to the deadly Pila barrage that the Romans has learned to launch when standing firmly against a furious Drapanai charge, composed by men which were bare chested... Well protected, but more agile than the late Roman legionaries, these elites used at best the terrific cutting power of their falxes to disrupt the enemy lines, or to exploit the gap created by the regular Drapanai.

CARPI MACHAIRAPHOROI : Les Taurisques, Anatoi, et Triballe furent tous de redoutables combattants recrutés par les Daces. Ils étaient tous équipés d'armes Celtiques, épées larges Boiennes et haches. Toutefois, l'un des grands peuples qui composa la mozaique de l'empire Dace était les Carpes, et ces derniers, vivant originellement dans les montagnes dont ils laissèrent leur nom, les Carpathes, était rompue aux combats de frontières contre les puissantes nations voisines, Germains, Bastarnes et Celtes. L'une des armes très courantes des Daces n'était pas la Sica, mais une sorte de grand coutelas de 60-65 cm qui rappelait la Seaxe germanique, en bien plus grand. En fait il s'agissait d'une version dérivée de la "Machaira" Gète, d'influence Grecque. Il formait la base d'une famille d'armes de type "sabre" qui fut caractéristique des balkans. On pouvait d'en servir également d'estoc. Ces combattants Carpes, dont la majorité restait composée de javeliniers armés de massues et de haches, comprenait aussi des troupes plus à même d'effectuer des combats rapprochés.

CARPI MACHAIRAPHOROI : Taurisci, Anatoi and in some way the Triballi were all fierce infantrymen influenced by celtic warfare. They were primarily skilled swordsmen. The "Celticization" of western Dacians led to a bigger number and importance of swordsmen in the Dacian army. They have several kind of swords. The most current were the old Boii style, relatively short, with a broader beam and sharp enough for thrusting. But the most current ones were of the Gladii size, a mix of influence between the Greek leaf-shaped Xiphos and local daggers. Another popular "long knife" which was discovered en masse, and was more common than the sica themselves was a 60 to 65 cm long slashing knife, probable ancestor of local sabers, and probably a getic-derived locally made Maichaira. Those units were skilled and versatile, and the Carpi were one of the most well-known figtning tribes among the Dacians. They were primarily mountaineers living both sides of the Carpathians, which they leaved their name.

DACI GLADIARII : Bie que l'influence Celte était forte sur les Daces, ils utilisaient des armes héritées des Gètes et bien spécifique à leur civilisation, comme la Sica, la faux, mais aussi et sans doute en plus grand nombre des glaives et de grands coutelas. Les glaives étaient un héritage d'influence grec rappelant le Xiphos. Les combattants ainsi équipés, surtout s'ils faisaient partie des meilleurs parmi les "Comates", se voyaient en mseure de combattre les légionnaire Romains à armes égales. Ils étaient en effet dotés de javelots, bien protégés, et excellaient en mêlée. Leur cuirasse se limitait à du cuir, parfois porté sous la tunique à l'instar des Gaulois, et parfois renforcé par des pointes de fer ou des écailles de bronze. Leur casque était influencé par les modèles très simples des Boiens, mais plus tardivement, ils se virent équipés de casques d'influence sarmates, en fer, décorés de fines ciselures et plus lourds et hauts. La côte de maille était plus fréquente chez les nobles à pied.

DACI GLADIARII : Men of skills and experience were chosen to assist Dacian spearmen in close-combat. Like Celtic ones, they throw heavy javelins before the impact, but used various eastern-european swords that differed notably from the celtic ones while beeing shorter, with a broader blade, more similar to the greek xiphos and the roman gladius. Llong daggers were found, even more than Sica blades. With the slashing machairaphoroi-like knives, they were very commn weapons, best used in close combat, and it's not unusual than these late elite infantrymen were actually inspired by roman legionary warfare. They were protected by leather scale armors, but probably used later chainmails, and simple design helmets.

PEDITES TARABOSTAE : Les Tarabostes étaient connus pour combattre à cheval. Toutefois les occasions pour les nobles daces de combatre à pied furent de plus en plus importantes. L'amée Romaine Trajanique comptant principalement de l'infanterie, nombre de Daces combattirent avec leurs gardes et leurs gens de pied, leur cheval laissé à l'arrière à un homme de leur suite. Ces nobles se voyaient équipés de ce qui se faisait de mieux en matière d'armure, avec notamment celle d'écailles qui étaient souvent préférée à la côte de mailles, car offrant une meilleure protection pour un coût souvent moindre. Ils portaient un grand thureos et combattaient soit en rangs serrés avec leur lance, comme les anciens nobles Gaulois et Gètes, pratiquant la phalange, soit comme unités d'élite à l'épée.

PEDITES TARABOSTAE : Such dismounted noble infantrymen were probably the most skilled and trained around. During the trajanic wars, the Dacian cavalry was proportinnaly less important than the Getic cavalry. Getic nobles nevers fought dismounted, but the difficult nature of the area dictated some practices which were common to those practiced among the Gauls. Dismounted Tarabostae were elite foot soldier of the highest nobility, which normally fought on horseback. Lesser nobles, which fought with simple leather jackets and their red cap, were quite more current.

DACII SAGITARII : Les Daces, tout comme les Gètes, faisaient une place très large aux archers. Ces derniers se recrutaient surtout parmi les montagnards, Carpes en particulier. Ils étaient rompus à la guerre d'embuscade, étant excellent chasseurs, et combattaient au contact avec des dagues, ce qui n'arrivait que rarement, pratiquant une tactique les mettant horse de portée de l'ennemi. Recrutés en masse et complémentaires d'autres troupes légères, ils furent à même de briser deux armées Romaines du temps de Burebista. Mais sous Décébales, ils eurent peu de poids face aux légionnaires équipés par Trajan, entièrement carapaçonnés de plaques de fer...

DACII SAGITARII : Average archers from the peasantry. The wide and deep forest of actual romania formed Skilled hunters. Excellent ambushers, the Dacian archers played a great part in any local skirmish against the advancing roman army during the trajanic wars. This was a fact also that the Dacian and getic archers differed in the bow used, a composite an relatively compact one for the getics and a curved, one piece classic European bow for the western Dacians. These archers were of course not suited for close combat, having no protection and only a dagger (like a derived form of the akinakes).

SARMATO-DACII SAGITARII : Ces archers d'élite Sarmates étaient en fait des cavaliers à pied pour les besoins des opérations. Ils étaient particulièrement habiles, portant des arcs composites fabriqués localement et bion plus grands que ceux utilisés plus à l'est. Leur portée était très supérieure à celle des archers occidentaux, et les Romains ne pouvaient leur opposer que leux excellents auxiliaires Hamiens venue de Syrie...

SARMATO-DACII SAGITARII : These "sarmatized" elite archers were in fact late dismounted daco-sarmatian units. They appeared during the dacian wars and were mostly used because of the rugged landscape of actual Romania, preventing the use of a cavary most of the time. They had of course the typical spangenhelm and a scaled armor, and were probably dismounted nobles or a chosen elite.

KONTOPHORES LAZYGES : A partir de la fin du 1er siècle av.JC., les Sarmates avaient assimilés entièrement les Scythes qu'ils n'avaient pas refoulé au sud, dans le Bosphore. Plus entreprenants que jamais, plusieurs nations Sarmates envahirent et pillèrent systématiquement les anciennes terres des Géto-Scythes, subjuguèrent les Agathyrses, puis se trouvèrent en confrontation directe avec les Daces. Du temps ou ces derniers avaient passé un accord avec Rome pour défendre leur Limes Orientaux en Europe, cet accord arrangeaient paticulièrement Rome, mais pas les daces qui avaient trouvé àa un adversaire redoutable. Toutefois les Roxolans et les Iazyges restèrent du côté est des carpates et ne fanchirent pas le Dauble, laissant la Thrace Romaine à peu près tranquille. Ceci fut vrai juqu'à ce que Burebista passe un accord avec ces derniers contre les appétits des Romains. Il en résulat un profitable et historique alliance qui résulta sur une sédentarisation partielle des sarmates à l'est de l'empire Dace. Des influences réciproques se firent jour, renouvelé par Décébale en échange de terres à l'ouest du Danube. Après cela, les Sarmates fournirent troupes et surtout cavalerie aux Daces qui les employèrent au mieux durant les guerres Trajaniques. Les Kontophores Iazyges comme ceux présentés ici étaient des cavaliers complets, armée d'épée longue, dague, hache de combat, et Kontos démonté en deux parties, de même que leur traditionnel Gorytos avec arc composite, dont la construction fur adapté au climat froid et humide local. Ils étaient très bien protégés, avec un mélange de côte de mailles et d'écailles, portant le classique casque sarmate, ancêtre du célèbre Spangenhelm.

IAZYGAI KONTOPHOROI : These Sarmatian cavalrymen were a late unit. Childrens of those who crushed th Scythian and then invade the western world, some eventually settled in what was formerly the getic territory, on the other part of the carpathians. They were some intermarriages with locals, and after a generation, young sarmatians of Iazyge and Roxolani moved west to the Danube, but were contained by the Romans. They eventually passed an alliance with Burebista and then de facto began part of his huge army. Sarmatian horsemen were divided between the poorest of them, horse-archers with no protection, and the nobles (Argarantes). The last were equipped with the famous composite helmet which was adopted lately by Roman auxiliaries and most of the "barbarians" in the vicinity ofRome. This helmet was the ancestor of the famous Spangenhelm. Sarmatian armors were flexible leather jacket entirely cladded by scales. There were perfect on horseback, light but impenetrable.

DACII KTISTAI AGEMATA : La classe des prêtres "Ktistai" n'avait en principe aucune action sur le champ de bataille, mais en revanche, elle accompanait l'armée, et dans la tradition Dace qui remontait aux racines Indo-Européennes des premiers Celtes, pratiquait un sacrifice humain avant la bataille. Un jeune noble désigné, qui prenait cela comme un suprême honneur, était sanctfié et offert aux dieu de la guerre, Zalmoxis, et jeté sur un pal de trois pieux. Une unité de combat était réservée à la protection de ces prêtres, qui étaient des nobles choisis et entraînés. Excellents archers et épéistes, cavaliers émérites, ils formaient des unités d'élite pouvant ajouter leur poids dans la bataille si nécéssaire, allant au combat avec la bénédiction des prêtres et la protection de Zalmoxis lui-même...

DACII KTISTAI AGEMATA : Among the best cavalrymen were the Getic bodyguards of the Ktistai, the priest class. They were Tarabostae, attached to the service and protection of the priests, and according to their status, wearing white caps instead of red caps. Trained since young, skilled horsemen receive the best armors, and there is no doubt that they were part of an elite. They use various weapons, but their skills with a bow while mounted was enough to be notices by Roman chronicles. The Dacian ktistai cavalry was one of the best that any general could muster.

DACII BASILIKON TARABOSTAE : Garde royale Dace. Cette unité de cavalerie ultime était composée de nobles Daces (Tarabostes), certains issus de la famille Royale, d'autres choisis, promus par le Roi, pour constituer sa garde rapprochée. Elite parmi les Tarabostes, elle était constituée de la fine fleur de la cavalerie lourde Est-Européenne, et déjà influencée par la cavalerie noble Sarmate. La cuirasse d'écailles étaitn depuis longtemps adoptée, héritée des Gètes, et le casque remplaçait avantageusement le bonnet rouge traditionnel, portée dans le "civil", mais non en campagne. Ce bonnet était le signe des nobliaux de basse provenance et même porté par quelques "Comates" méritants... Dotés d'un Kontos et d'une spatha ces cavaliers très lourds combattaient au contact après une charge dévastatrice.

DACII BASILIKON TARABOSTAE : Late Dacian royal cavalry was to be true, one of the most impressive in the western world. A part of it was composed by chosen bodyguards from the reknowned sarmatian noble cavalry. Due to their status, they have impressive easter horses, tall and strong enough to be cladded like cataphracts. These Dacian tarabostae were a Royal elite, practicing a devastating charge and then terrible in melee fightning. The added weight of their horses and armors made them as impressive as any eastern noble cavalry, their shock, tremendous.

DACIAN AOR

GUERRIERS MOESIENS : Les Moesiens sont mieux connus plus tard par les Romains, qui se servirent de leur nom pour effacer de la carte tout trace des Daces, fondant même deux provinces sur l'ancien territoire de Décébale. Les Moesiens étaient en fait un ancin peuple Balkanique aux racines mal identifiées, apparenté aussi bien aux Daces qu'aux Thraces et aux Illyriens. Géographiquement, ils se trouvaient au sud du Danube, donc du territoire Dace, et voisins des Péoniens. En 300 av.jc. Ils étaient volontiers recrutés comme mercenaires par les Grecs et Macédoniens, notamment pour éviter leurs raids sur la frontière en les privant de leurs meilleurs éléments. Comme on sait peu de chose sur l'apparence de ces combattants qui furent complètement anéantis et intégrés dans l'empire de Décébale, on n'à sur eux que des conjectures du fait de leurs connections culturelles et le climat de la région. L'Ancienne Moesie était une région semi-montagneuse (nord et sud) et enclavée. Les Moesiens étaient regroupés en plusieurs tribus et fréquemment en guerre contre leurs voisins. Traverser la région était ainsi toujours un exercice très périlleux. Leur mise était apparentée à priori d'avantage à celle des Thraces que des Gètes. En revanche l'épée courbe semblable à la Sica était une arme de choix pour l'infanterie légère, qui ne différait pas beaucoup des peltastes.

MOESIAN WARRIORS : The Moesian, better known later by the Romans, who used their name to erase any trace map of the Dacians, the same two provinces based on the former territory of Decebalus. The Moesian were actually a people Ancine Balkan roots poorly identified, related to both as Dacians Thracians and Illyrians. Geographically, they were south of the Danube, the territory Dace, and neighbors Paeonians. In 300 bC They were willingly recruited as mercenaries by the Greeks and Macedonians, to avoid their raids on the frontier by denying them their best. As we know little about the appearance of these fighters were completely destroyed and incorporated into the empire Decebalus we did on them that speculation because of their connections and cultural climate of the region. The former Moesia was a semi-mountainous region (north and south) and landlocked. The Moesian were grouped into several tribes and frequently at war against their neighbors. Cross the area and was always a very dangerous exercise. Their development was related to a priori advantage than that of the Thracians Dacians. However the curved sword similar to the Sica was a weapon of choice for light infantry, which does not differ much from peltasts.

GUERRIERS PEUCINS : Les Peucini sont les mieux décrits des peuples Bastarnes, ou en tout cas les plus souvent mentionnés par les auteurs Gréco-Romains. Ces derniers s'étaient installés plus à l'ouest du Danuble. Dans la sphère d'influence Thraco-Gète, les Bastarnes étaient décrits comme utilisant la sinistre Romphaia. Ils constituèrent de précieux mercenaires des Romains dans leur lutte contre Burebista plus tard. Les Peucins étaient établis au départ sur l'ïle de Peuce dans le delta, et vivaient principalement de pêche et de chasse, presque seuls dans cette vaste étendue sauvage. Par la suite le poids de la démographie les poussa dans des raids chez leurs voisins, notamment en Moesie. Leur armement reste sujet à caution : En effet, celui des Bastarnes est décrit comme étant constitué d'une romphaia, mais il s'agit peut-être d'une spécificités propres aux guerres Trajaniques, une contre-mesure aux "Drapanai" Daces. Il est plus probable que du fait de leurs influences, les guerriers Peucins combattaient avec javelots et haches.

PEUCINI WARBAND : The Peucini were in fact, Bastarnae as well. They were in fact the most well-known tribe, mentioned several times by greek-roman authors. They eventually settled in the delta of Istros (Danube), on an island called Peuce, hence their name, facing the black sea. They lived in a savage and desolated land of swamps, but rich and wildfawly, in birds and fishes. They were relatively peaceful. But their demography pushed them towards west, and they invaded and desolated Moesia, where the subujugated local peoples and settled. Later, they were "Sarmatized" in approx. 150 AD. Peucini infantry was known by Tacitus, mainly constituted of foot infantry, lightly equipped. Some elite warriors probably used the rompahia, but the vaste majority of them were skirmishers, with maces, axes and spears as secondary weapons.

DII MISTOPHOROI : Les mercenaires Dii étaient parmi les plus appréciés par leurs comanditaires car les plus aguerris et renommés, notamment pour la terreur quasi légendaire dont ils imprégnaient les récits anciens. Mercenaires depuis des temps reculés, on les utilisaient bien avant la guerre du Péloponnèse contre ses ennemis, généralement Athènes qui n'hésitaient pas à les lancer contre des villes entières. Les Dii étaient donnés pour des barbares d'une absolue férocité et cruauté, capables de prendre une ville puis de massacrer tout ce qui vivait dans ses murs, allant jusqu'à tuer même les chiens. Au combat, ils excellaient en embuscade, où la puissance de leur assaut suffisait à rompre les colonnes de troupes les plus aguerries. Avec la teps, la plupart étaient devenus asez riches, mais trouvaient toujours des clients grâce à leur excellente réputation. Les mercenaires décrits ici sont équipés d'une romphaia relativement courte dérivée de la Sica locale, une faux très appréciée pour sa puissance de taille. Ils lançaient généralement des javelots et possédaient également des thureos de préférence à la pelte. Leur casque était soit pris à l'ennemi soit de fabrication locale ou recyclée, fait d'éléments propres au style thrace et d'autres censés les rendre le plus effrayant.

DACII TRIBALLI INFANTRY : Although beeing thracians, related to the Getai as beeing "northern" thracians, the Triballi were a fierce people, known for their strenght and valiance during history. They were the fiercest enemies of the Odrysian, occupying a vast and flat territory to the south-east of the actual Moravia. In 424 bc, they repelled an invasion of the ambitious Sitalkes, then king of the Odrysians, which died in the event. Later, Philip II of Macedon, when returned from an expedition against the Scythians, were blocked by a huge Triballi army, the king asking for a part of the looting before releasing the Macedonians, which Philip refused and open the battle. He hardly won, lost a lot of men and was himself badly wounded. His son Alexander soon invade the Triballi territory in 334 bc in order to force them to pass an alliance and secure macedonian northern borders. The king, Symrus, offered him battle in an open field, and although the macedonians were outnumbered, they crushed and routed his army easily, the cavalry pursuing them toward an island on the Danube. The Triballi lost some parts of their territory but neverltheless, they regain some strenght before beeing overhelm by a combined Celtic and Autaraiate Illyrian invasion, which cam fo looting and territory. The Triballi were crushed and nearly anhinilhated, the suvivors beeing blocked to the west by the Getics. They finally held a small territory around Oescus in actual bulgaria, but were also partly assimilated to the Celts. Later, they entered in the dacian empire, and were still known as fierce opponents, but beeing heavily celticized as well. They used the most common broadsword used by the Boii, Taurisci, Scordisci and some Dacian swordsmen as well. This weapon was heavy enough to inflict heavy damages while slashing, but were also well-used for thursting. Triballi which were gathered by the dacian army were well-equipped, receiving an helmet and a paddled leather armor. Like most celtic swordsmen, they used some javelins at mid-distance.

Les Triballes étaient un des peuples les plus nombreux des Thraces, et furent longtemps ennemis des Odryses. Ils occupaient un vaste territoire de plaines au sud-ouest de l'actuelle Moravie. En 424 ils repoussèrent l'ambitieux Sitalkès, Roi des Odryses, qui y perdit la vie. Philippe II de Macédoine en -339 faillit partager son sort en revenant d'une expédition contre les Scythes, les Triballes barrant le passage de son armée. En 334, Alexandre le Grand repassa le fleuve Haemus pour l'affronter et repoussa les armées du Roi Syrmus, qui se réfugia avec les restes de son armée sur une île du Danube. A partir de -295, leurs voisins de l'ouest, le royaume Illyrien des Autariatae les attaquèrent avec des Celtes, et pressés à l'est par les Gètes, les Triballes commençèrent un long déclin. Jusqu'en -84, toutefois, alors que la macédoine était une conquête Romaine, les Triballes et les Gètes lançèrent plus d'une fois des offensives. On parlait encore d'eux à l'époque de Dioclétien, et étaient alors utilisés comme auxiliaires.Les Triballes passaient pour les plus féroces et sauvages des tribus Thraces, bien qu'en la matière les conccurents ne manquaient pas. Les mercenaires Triballes étaient difficile à manager, du fait de leur indiscipline, mais toujours appréciés pour effrayer l'adversaire. Les guerriers triballes combattaient comme les autres guerriers Thraces, avec typiquement des javelots et une dague recourbée ou Sica. Ils portaient semble-t'il la mise des Thraces du Nord, dont le pantalon comme les Gètes. La culture Celte, par l'entremise des Scordisques qui s'imposèrent par la force, les influença largement et ils adoptèrent notamment l'épée longue Celtique. Ils semblent ensuite étés graduellement défaits par des Celtes et des Illyriens Autariates et conduits à se regrouper sur un territoire très réduit après 280 av.jc, notamment Oescus dans l'actuelle Bulgarie. Tout comme les Gètes ils sont intégrés dans l'empire Dace et survivent ensuite au sein de l'empire Romain où certains sont employés comme auxiliaires.

COTOBOSCI PEDITES : Parmi les nombreux peuples vivant au nord des balkans, deux retiennent l'attention : Les Bastarnes, voisins au sang mêlé Celto-Germanique, et les Costoboces au voisinage immédiat des Daces. Longtemps en guerre contre les daces, leur souverain finit par se rallier à l'empire de Burebista et ils fournissait une part importante des effectifs. Ils étaient probablement équipés "à la germanique", étant de frustes semi-montagnard armés de haches, de dagues, de gourdins et de marteaux de guerre, mais surtout de javelots. Ils formaient des auxiliaires appréciés queoique peu disciplinés.

COTOBOSCI PEDITES : These were northern Dacians, beeing isolated for a long on the southern part of the Carpathians, and protecting the Dacians against the western celtic invaders, and the fierce Bastarnae over the mountains. They were poor, with a mountaineer style, equipped with average weapons as non-tipped javelins and schock weapons like the battleaxe, more current than the sword or the sica. They would also fought with javelins and daggers, clubs and aother crude weapons and axcelling in ambushes. The Cotobosci people were an important one, numering probably as many men than the dacians, and their continuous border fightning made them reliable and skilled.

MERCENARY SARMATIAN CAVALRY : Ces nobles Roxolans et Iazyges, venus de l'est de la mer noire, sur les rives de la Caspienne, il y à deux siècles, avaient écrasé les Scythes de l'ouest, les ayant acculés au Bosphore ou assimilés totalement. Vers 50 après JC., ils s'étaient installés en masse sur les terres des Gètes. De fait, ils étaient devenus des ennemis des Daces déjà sous Burebista. Mais ce dernier, lassé de les combattre au profit de Rome, fit un renversement d'alliance. Après cela, les Sarmates entrèrent au service des souverains Daces, et jouèrent un rôle important durant les guerres Trajaniques. Ils influençèrent aussi largement la mode vestimentaire et l'équipement des Gètes.

MERCENARY SARMATIAN CAVALRY : Beeing nobles, for the most, they were eastern Sarmatians which were less common than Roxolani, but usually made excellent horse-archers and versatile "knights" in the pure sarmatian style. Their complete scaled armor, scale panels to protect their legs, neck guard and sarmatian typical helmet made them versatile and heavily armored horsemen, although using smaller steppe horses than eastern nobles.

UNUSED : Getic Thureophoroi. This kind of infantry, spearmen with thueos, were very common, but other models seems to be more useful. They are just alternative units now, based on the "east levy" model.

 

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