C'était il y a 2310 ans...

Les Senons : Le bouclier des Gaules.

Les Senons (les "premiers" ou "anciens"), sont une puissante confédération de tribus au centre de la Gaule, dans une terre fertile et très irriguée, notamment par la seine et la loire et leurs affluents, et avec comme capitale la ville de Sens (Agedincum) et Mecloculum comme principale cité alliée, au voisinage plus lointain de grandes cités fortifiées comme Alesia, Cenabum et Lutetia, chef-lieu des Parisii, leurs grands alliés et clients. Ils étaient aussi voisins des Lingones à l'est, des Eduens au sud, des Carnutes (ennemis jurés) et Parisii à l'ouest et naturellement des Belges au nord, en particulier les Rèmes et leurs tribus clientes comme les Suessiones, Meldes, et catalaunes. Les Senons furent très vite en guerre avec les Belges, en particulier les bellovaques, qui regroupaient d'immenses armées d'alliés Rèmes, Ambiani, Veliocasses, dont les appétits étaient sans limite. Etant donc les "protecteurs" de leurs clients, on leur en donnaient les moyens. L'armée Senone en 300 av.jc. était ainsi de loin l'une des plus impressionante de la gaule, elle pouvait rassembler près de 100 000 guerriers. A cette époque de forte natalité et de semi-nomadisme, des Senons émigrèrent vers le sud, puis de là, menés par leur chef Brennus, passèrent en Italie vers 400 av.jc. Ils repoussèrent les Ombriens, s'installèrent et fondèrent leur capitale, sena gallica, puis pénètrèrent en étrurie en 391, et mirent enfin le siège devant Clusium. Ces derniers, alliés de Rome, les appelèrent à leur secours. Le serment de paix fut brisé par les Romains en etrurie, les Senons s'estimant gravement offensés par l'assassinat d'un de leur ambassadeurs, et l'affrontement eut lieu sur les rives de l'Allia, à 18km de Rome, en 390. Ce fut la pire défaite des Romains avant Cannes; Pour la première et dernière fois avant la chute de l'empire Romain, presque 800 ans plus tard, des Gaulois prirent Rome, l'incendièrent et la pillèrent. Il ne purent capturer les notables réfugiés sur le Capitole, et s'en allèrent en ayant reçu une énorme tribut au cours duquel Brennus, selon l'historiographie, les Romains contestant les poids des balances, se serait emporté et aurait jeté son épée en criant "vae victis", malheur aux vaincus... Les Senons furent attaqués dans les rues de la ville par l'armée rassemblée par Camille, et trucidés le jour suivant au petit matin, d'après Tite-live, dans les campagnes alentours, récupérant lourdement de leurs agapes et parmi leur butin. Les Senons transalpins furent finalement défaits et repoussés en 283 par Cornelius Dolabella, certains fuyant plus à l'est, passant en grêce. Certains de ces Senons traversèrent ainsi toute la grêce, furent repoussés en Thrace par les Macédoniens, puis passèrent l'Hellespont à l'invitation du Roi de Bythinie, s'installant en Galatie. Comme mercenaires, certains se retrouvèrent en Egypte, servant les ptolémées, d'autres aux confins de l'Inde, servant les séleucides...

Une faction Alternative : Les Eduens :

La confédération Eduenne était un ensemble géographique dont l'essentiel se trouvait réuni au centre-est de la france, entre saône, loire, et nièvre. Le nom même, la racine éthymologique de leur nom semble être en rapport avec le feu. Les Eduens seraient des hommes "ardents", sans qu'on n'en sache vraiement la signification précise. Ils avaient de loin le plus vaste et riche royaume et une figure de leader-né dans la confédération. C'était aussi l'une des plus puissantes tribus de Gaule, appelée à assurer "le principat des gaules" au moment ou César intervenait contre les Germains. L'attitude de Rome à leur égard fut toujours positive, eu égard à la légende que se donnèrent les Eduens pour attacher leurs origines aux Troyens, donc "frères de sang" des Romains... D'après Tite-Live, les éduens participèrent à un raid en Italie conduits par Bellovesus dès le VIe siècle. "Amici" dès le IVe siècle au sénat de rome, ils firent déjà appel à Rome en 120 av.jc. contre les Arvernes et les Allobroges, qui furent battus. On entendit surtout parler d'eux à l'époque de Jules César, lorsque cette confédération, se vit attaquer par ses autres grands adversaires, les Séquanes à l'est de l'Arar. Ces derniers firent appel au Germain Arioviste et purent ainsi disposer des effectifs nécéssaires pour subjuguer les éduens. Ces derniers en appelèrent au Sénat par l'intermédiaire du druide Diviciacos, mais le sénat ne réagit pas d'emblée. César en revanche saisira plus tard cette occasion pour "libérer" les Eduens tout en divisant opportunément les Gaulois, au moins jusqu'à Vercingétorix.

Les Eduens possédaient un vaste territoire confédéral comprenant également les Mandubiens au nord, les Bituriges Cubi, Aulerques, Senons, Parisii et bellovaques au nord, et les Ambarres et Ségusiaves au sud comme alliés. Outre leurs ennemis Séquanes à l'est, les Arvernes furent une menace constante au sud. Cette confédération possédait un pouvoir politique de type patricien, avec un "sénat" dirigé par un membre de chaque grande famille aristocratique, et une chef exécutif, le fameux vergobret, élu pour an un par le conseil des druides, et dont les pouvoirs se limitaient réellement au territoire Eduen dont il ne pouvait sortir. Ce système permettait à la fois d'éviter toute tentation de pouvoir monarchique ou dictatorial sur la confédération.

L'armée Eduenne est en fait assez difficile à définir du fait du peu d'information à notre disposition, de très peu d'indices indirects comme les descriptions de Tite-live ou César. On peut, pour en dresser un portait plus ou moins crédible, voir sa subdivision classique entre la classe des esclaves, éventuellement armés dans les périodes d'urgence, les paysans armés en milice (métayers non esclaves mais soumis à la classe des guerriers), les guerriers eux-mêmes, subdivisés par tranche d'âge, d'expérience et de richesse, et enfin les nobles et leurs unités dédiées comme les "ambactes" (serviteurs) ou "soldures" (gardes du corps) qui semblent avoir possédé des fonctions très proches. D'une manière général, la proportion de métal dans leurs équipements devait être légèrement inférieure à celui des arvernes, mais pour autant la prospérité commerciale des éduens grâce au Rhône avait dû permettre l'ascension d'une classe moyenne aisée voire "bourgeoise" et donc de combattants professionnels, "cingetos" bien équipés. Leur extension géographique signifiait l'usage de troupes assez diverses, comme on va le découvrir dans cette présentation:

SENONES

 

A light Cingetos :

This kind of spearmen used several kind of spears, the majority beeing the famous three-meters long "Lancia" and some, a 2,20, 2,30 m version, decribed but which name never survived. These medium spearmen were well equipped, educated, but not wealthy warriors as the heavy Cingetes, or elite ones (uercingetes). These spearmen were stationed on the second and third line, fightning with the long spear over head, in a phalanx. They were numerous and disciplined, using their longer spears to stop the enemy penetration and support their own troops in the melee. This kind of warriors had the affordable coolus light helmet and shield of around 200 bc. They wore a light leather jacket under their tunic. Common cingetes like him were really the backbone of any celtic army by 300 bc. Later Cingetes were better equipped and differenciated by the time of Caesar came in gaul, but they fought in a more disorganized way, most of them using their sword instead.

This was 2310 years ago...

The Senones, Shield of the Gauls :

The Senones ("first" or "old"), are a powerful confederation of tribes in central Gaul, in a very fertile land and irrigation, particularly by the Seine and the Loire and its tributaries, and as the capital city Sens (Agedincum) and Mecloculum cited as the main ally, the more distant vicinity of large fortified cities as Alesia, Cenabum and Lutetia, capital of the Parisii, their allies and major customers. They were also neighbors Lingones in the east, south Eduens, Carnutes (sworn enemies) and Parisii to the west of Belgium and of course to the north, especially Remes clients and their tribes as the Suessiones, Melde, and Catalauni. The Senon were soon at war with the Belgians, especially Bellovaques, which included huge armies of allies Remes, Ambiani, Veliocasses, whose appetites were without limit. Being so "protective" of their customers, we gave them the means. The army in 300 av.jc. Senoner was by far the most impressive of Gaul, she could draw some 100 000 warriors. At this time of high fertility and semi-nomads, Senon migrated south from there, led by their leader Brennus, passed in Italy to 400 av.jc. They push the Umbrians, settled and founded their capital, Sena gallica, and then went in Etruria in 391, and finally put the seat in front Clusium. Them, allies of Rome, called to their aid. The oath of peace was broken by the Romans in Etruria, the Senon feeling seriously offended by the murder of one of their ambassadors, and the confrontation took place on the banks of the Allia, 18km from Rome, 390. This was the worst defeat of the Romans before Cannes for the first and last time before the fall of the Roman Empire almost 800 years later, Gauls took Rome, burned and pillaged. It could not capture the notable refugees on the Capitol and went to have received an enormous toll Brennus in which, according to the historiography, the Romans contesting the weight scales, and would have thrown away his sword and shouted "vae Victis" woe to the vanquished ... The Senon were attacked in the streets by the army assembled by Camille, and trucidés the following day at dawn, according to Livy, in rural surroundings, picking their heavily Agape and among the loot. The Senon transalpine were finally defeated and driven in 283 by Cornelius Dolabella, some fleeing to the east, from Greece. Some of these Senon crossed and all Greece, in Thrace were repulsed by the Macedonians, then spent the Hellespont at the invitation of King Bythinia settled in Galatia. As mercenaries, some found themselves in Egypt, serving the Ptolemies, others within the confines of India, serving the Seleucid ...

An Alternative faction : The Aedui confederacy.

Not considered or a mod based in 300 bc, the Aedui will have more power shortly before the germanic invasion, around 100 bc. The ain source of their power in Gaul was mostly political, as an ally of Rome. The Aedui played a siginificant part in what would become the gallic wars.

The Aedui Confederacy encompassed a wide geographical area including, for the essential, kingdoms from the center-east of France, between Saône, Loire and Nièvre. The ethymological origin of their name seems to have links with the fire. The Aedui would have been "hot-minded" mens, or simply bellicose. They had by far the biggest kingdom in gaul and make figure of natural leader around. Their armies were impressive, but their progressive dominance was mostly by mutual treaty and a commonwealth-like political and economical structure than a pure hegemony in the greek meaning. They launched a raid, leaded by Bellovesus in northen italy in the VIth century bc, but remains relatively peaceful after. Their position was not unknown by the Romans as they soon send a delegation to the Senate of Rome, and became as soon as the IVthe century bc "amici" od the senate and people of Rome. In 121 bc, threatened by the Arverni and Allobrogi in the south, they urged help from the Romans, which managed to crush both army and reinforced the links of friendship and trade with the confederacy. They once again send a delegate to the senate of Rome, during the civil war and the Consulate of Caesar and Pompey. The Aedui were invaded by a joint Sequani and germanic warriors leaded by Ariovistus. The ambassador, the druid Divicacos was not granted his request at the first time. But Caesar, growing ambitious, seized this opportunity to conduct some legions in gaul. This was the beginning of "de bello gallico", Caesarean glorious odyssey. His path was to divide more, and use gallic rivalries to weaken the whole country and subjugate eventually it after Vercingeotix defeat. During this event, the Aedui once time managed to break their old alliance and joined the arverni leader, but they were ultimately defeated, and returned to their old alliance, although with high suspicion.

Aedui confederacy was also joined with the Mandubians (east), and also the Bituriges Cubi, Aulerques, Senones, Parisii, Bellovaci north, Ambarres and Segusiave south. Their main enemies were the agressive Sequani east, and the powerful Arverni in the south-west. This confederacy was given a "senate" of gallic aristocratic families, which delegate each an eminent figure for a time. The executive was the famous "Vergobret", elected for one year after a ceremonial council of the aristocratic druids. His authority was severely restricted to the confederacy and his military command to the aedui territory only, to prevent any monarchist or dictatorial attempt.

The Aedui army is not easy to define, because of the lack of sources, to differenciate from other tribal armies. They were also no mention about their units by Caesar, or livy, the main sources for the gallic armies. To define it, we can take as a base the classic units that exist in all tribes, as the armed slaves, levies, experienced swordsmen, and veterans as the cingetos, bodyguards as the ambactos and soldurii, gallic cavalry and local troops from the confederates, Bituriges, Senones, Segusiavi. In a general way, the aedui superior class were probably well-equipped, because of the Rhône valley rich trade between the north and south of Gaul, exports towards Italy. But they were still a few, and probaly used less helmets and chainmails than the metal-gifted arverni. I hope this army portait could be a good compromise between gameplay and possible historicity...

SENONES - FACTION UNITS :

Foreworld :

This faction is a prototype of a new vision of the gallic an belgian celtic armies by 300 bc, prior to new great invasions in italy and greece. This extraordinary event saw some gallic tribes, emerging from their overcrowded settlements in gaul, crossing italy via the southern coast, beeing pushed eastward, beeing repelled by the Romans, others by the macedonians after the sack of Delphi, then invading Thrace, settle in Tylis, and other, while living from banditry around, beeing called by the king of Bythinia, Nicomedes, to help his army as mercenaries. They crossed the hellespont, and settled in modern Galatia. In this fertile country they grow prosperous and threatenening the nearby small kingdoms, their fierce adversaries beeing the new kingdom of Pergamum. Attalus finally crushed them after furious battles, using elephants and phalanxes, and after that, some became captive, other had flaw to the nearby kingdoms as mercenaries. So that Galatians settled as far as eastern seleucid cities and in egypt, where they were highly priced for their impressive strenght and valor. Under Antiochos III, it is also probable that at least a thousand of them gone as far as eastern India...

The Celtic armies in 300 bc were far from those depicted by Caesar when he began his systematic conquest. It was day and night. When Caesar arrived, the Gauls where quarelling between rivalling and fragile confederacies which succeed to a more stable perod of kingdoms. Like hundred years after, during the revolution, most of the officers have been killed or gone away, and the military organisation was piecemeal, so that the gallic tactic was reduced to a single line of swordsmen, charging furiously, to be broken on the iron scutums and obliterated by a wall of heavy pila. During the time of rivalling peoples (mostly due to overcrowded lands and some relative poverty), the celtic battlelines were one of the most complex warfare system in antiquity. Far before the Romans, the celtic phalanx was intermediary between the classic phalanx and the roman turtle : It was on two or three ranks of dephts, the shields were raised vertically after. The Gallic battle system was not so broad, it was in depht, like the post-camilian roman army, but with a reverse arrangement and repartition. The elite warriors were the Cingetos, equipped with decorated helmet, leather amor, their cloak folded around their chest, a three meters long lancia, and a long sword for close combat. They were posted at the front, in one or two lines, sometimes three depending of the field and the total number of soldiers. In this line were stationed also all the best foot infantrymen, noble clients like Ambactos and champions, and the nobles themselves who fought dismounted by choice. They march in good order toward the enemy, with space between them, until the classic "tumultus gallicus", a psychological weapon first, began.

Right : The Senone Noble chieftain

 

 

 

Several lightly equipped, poor and courageous warriors rushed in the first line, provoking the enemy and launching their Verutum, behind them were the lightest javelineers. It was current also that the champions defied themselves between the two lines and fought a spectacular duel. If this singular fight was not decisive, the whole armies would prepare for the charge. In some case, at the signal of the numerous carnyx there, the elite spearmen regroup in very close order, for defending the line against an attacking enemy or marched slowly with this very tight formation, until getting in contact and tried to push forward like hoplites until they break the enemy formation. They could also not tightening their formation and charging, after letting the lighter troops behind launching their verutum on the enemy (up to 80 meters of range, like the Velites weapons, they got a very long spearhead and were launched using the armentum, a propulsing leather strap. These units, depending of their equipment were relatively poor warriors, using light wicker shields and composite ones, and almost not protected. The true gaesates were in fact half-nude or nude regular warriors launching their gaeso, the classic medium sized spear, and kept one for close fight. Also were the Acuadretii and other light skirmishers. During the march order, they were on the third and fourth lines, and on the wings. Behind the spearmen (Cingetes and Ambactes), on the third line, layed the less equipped warriors, some having helmets and other not, mostly had a leather jacket under their tunic. They used the Lancia, mot most usually a shorter (2.30 m) spear, and known how to fight in good order. They add their strenght in the melee for the big "push" of the first lines. Behind them layed a large number of light warriors, farmers and low-class peasants equipped with fortune weapons and light spears, the most current one beeing equipped with a second-rate wooden scutum and a single gaeso. They were fully clothed, the only half nude warriors beeing fast runners and more experienced warriors, most of them were levies ou young warriors equipped with wicker shields.

Atecti : Peasants. These are levies raised outside the warrior class. Not well trusted, they were poorely equipped with fast-made wicker shields, covered or not, or second-rate wooden shields. Their main weapon was the spear, economical and efficient at short distances. This spear could be a military one, probably an affordable gaiso, but others could have used utilitarian tools as well, like modified fourchs (Gaballa). Atecti were also given other close melee fortune weapons, as small axes, and chopping instruments. They were posted at the extreme rear, in order to protect the baggage train, and to contain a possible, but improbable rear attack, although they would have lasted a few against professional warriors.

Atecti : Paysans. Ces levées constituent la partie la plus faible quanlitativement, mais une des plus importantes de l'armée, avec près 2000 hommes pour une armée de 10 000. Recrutés dans les villages les plus proches du lieu de la bataille, ils sont d'âges divers et sans exprience militaire, armés sommairement, certains avec leurs outils agricoles propres, d'autres avec des armes de second ordre, fabriquées à la hâte, ou encore avec des gaiso surnuméraires. Le Gaiso est une arme peu onéreuse et relativement polyvalente si besoin était. Lorsqu'ils disposent d'un bouclier, un simple modèle en osier, facile à produire, est le plus courant. Leur rôle est uniquement de protéger l'arrière garde contre tout débordement ennemi et les bagages du train par la même occasion. Ils ne pourraient faire face cependant longtemps à une attaque résolue de troupes d'élite et servent surtout de troupes de remplacement, peu fiables mais disponibles en nombre.

Batores : Meaning literally "strikers", they were another peasant levy, but usually, chosen, strongest men around, by the local chieftain. Their main duty was to reinforce the former lines as a cheap infantry force, and to attack the flanks or the rear of the enemy lines, supported by more experienced troops. Their poor armament and protection made them fast and well suited for their task. The Batores were equipped with fortune weapons, usually crude heavy maces, and various forester and farming tools, as axes and chopping instruments. Their task was to open a breech into enemy ranks while knocking out their shields.

Batores : Littéralement "frappeurs", ces paysans sont choisis spécialement par mi les populations rurales pour un rôle plus offensif. Ils sont en général plus solides et capables que la moyenne, et dotés d'armes assez rudimentaires, haches et gourdins pour l'essentiel, protégés par un somaire bouclier de bois. leur rôle est de briser les boucliers de l'adversaire, notammet pour premettre aux troupes d'élite de percer les lignes. Pour ce faire, leurs armes et leur force physique sont un atout précieux. Ils n'ont cependant aucun entraînement, seulement leur pugnacité pour êtres efficaces.

Bagaudas (spearmen) : Fast and light spearmen equipped with second-hand wooden scutums. Usually they were posted to the rear, but they could support their fellows at a distance, and usually protecting the baggage train; although they were better trained then the peasants and know how to fight. It was the most usual levy troop around, affordable and capable. They were given a gaiso, a Lancia or an intermediate sized spear, which made them usueful against enemu cavalry. They were not especially a defence unit, but more a "guerilla warfare" unit, capable of fast tactical moves.

Bagaudas (piqiuiers) : Les bagaudas ou paysans-guerriers formaient rien moins que la moitié environ des troupes celtes en bataille. Ils étaient d'origine paysanne, recrutés en masse avec un entraînement poussé. Le gaiso ou la lance et un scutum de bois, étaient leur équipement. Ils étaient plus disciplinés et avaient plus de valeur au combat que les paysans levés en urgence. Les Bagaudas prenaient place derrière les guerriers d'éducation, et soutenaient l'assault par leur seul nombre. Ils pouvaient également se déployer pour protéger les flancs, tandis d'autres étaient aux ailes, mieux équipés et entraînés, avec un rôle plus offensif. La masse des bagaudas était une garantie que l'armée ennemie ne tenterait aucune percée sur les flancs sans risques.

Acubagaudas (Javelinmen) They would had been called also "fast bagaudas " - They launch some Tragula (roman name), a light javelin, shorter than the versatile gaiso. Usually they were posted to the rear, but they could support their fellows at a distance, running fast on the forefront and the flanks as well. These kind of infantry was equipped with dagger or more rarely short swords for close combat, and perhaps a gaiso for close quarter also. These last supported the first during the battle and charged also. Young and agile, they were primarly posted on the flanks both to prevent any enemy flanking manoeuver and outflank the enemy themselves as to support their own cavalry.

Acubagaudas (Javeliniers) Ces "bagaudas rapides" étaient en fait les troupes un peu plus aguerries de paysans-gurriers qui prenaient place aux ailes de l'armée, avec comme rôle de soutenir la cavalerie et de se déployer pour un assaut d'enveloppement. Ces guerriers étaient complémentaires des premiers, et utilisaient, tout comme les gaisates, des gaiso comme arme de jet et de poings. Il n'était pas exclu que certains portent également des dagues voir des épées courtes, bien qu'il s'agissait du privilège des guerriers.

Acuadretti : Fast javelinmen ("acu") equipped with wicker or very light shields. Thy launch some Tragula, a short, medium javelin, lighter than the versatile gaiso. They were normally posted at the forefront, beteween the lines, before the clash, like most javelinmen in antique armies. Some reenacters tried to reproduce the Tragula. It was launched by a leather device, the armentum, which gave an additional lever force to the javelin. The tragula was a very long distance theoric javelin, capable of 80 meters range... The acuadretti carry several of them and were able to pepper the enemy while beeing in relative safety, as not any front-line warrior was given such light weapons. Acuadretti were given probably orders to kill the enemy's flanking units, not well protected, and beeing always a threat when the whole armies clashed.

Acuadretti : Javeliniers très rapides ("acu"), dotés d'un léger bouclier d'osier facile à produire, et de la tragula (nom Romain, le véritable nom Gaulois reste inconnu), un javelot léger propulsé par armentum, une lanière de cuir enroulée lui donnant, d'après la force du lervier, la puissance nécéssaire à l'envoyer à de très grandes distances, en vérité, en théorie à près de 80 mètres dans des conditions optimales mais en campagne, par un guerrier moyen, à environ 60-70 mètres, ce qui restait encore bien au-delà de la plupart des javelots conventionnels. Un acuadretti pouvait emmener près d'une sizaine de ces javelots, et se trouvaient en première ligne, loin devant leurs propres troupes pour la conflagration. Ils lançaient leurs projectiles sur l'ennemi pour tenter de clarsemer leurs rangs. les javeliniers adverses, peu protégés, étaient bien sûr une cible de choix. La distance de lancer des acuadretti leur permettaient de rester en principe à distance de sécurité pour eux-mêmes. par ailleurs, ils étaient aussi employés à countourner l'adversaire pour frapper ses troupes plus légères aux ailes. La présence d'unités plus lourdes était nécéssaire alors en cas de contre-attaque.

Gaisates : These famous troop were given various armaments and equipments, although ancient authors agreed to speak about them to be nude or half-nude. It was not only to impress their enemies but also a war tactic, to be more agile in the battlefield, exaclty like stated Polybius when speaking about the Gaesates from the Rhône valley fightning as mercenaries at Telamon. The true line Gaesate were naked or half-naked warriores armed by gaesos as main weapons. It was a quite current infantry, far less equipped or fierce than those usually showed. These were young and fast-moving, as a medium or even heavy skirmisher infantry. They were posted to the rear, and then to the forefront during the "tumultus gallicus" which precedes the assault.

Gaisates : L es fameux Gaesatae (en grec) ou Gaesati (Latin) tels qu'ils nous sont connus, notamment par polybe à Télamon, n'étaient pas des mercenaires d'élite achetés à prix d'or, mais des troupes de base très courantes au sein des armées Celtiques en campagne. Ils faisaient partie de la classe des guerriers pauvres et n'étaient dotés que du gaiso comme arme principale. Ils en emportaient de trois à quatre, dont un leur servait d'arme de combat rapproché. Le gaiso courant était un javelot relativement long mais fin (1,80m), utilisable aussi bien pour le lancer que comme arme d'Hast. Les Gaiso étainet parmi les lances les plus courantes en usage chez les celtes, et d'autres troupes les employaient également. Les Gaesates combattaient en outre nus ou torse nu, de manière à ne pas être embarrassés par leurs vêtements et donc d'être aussi vifs et agiles que possible, malgré leur lourds gaiso et leur scutum en bois. Ils étaient donc plus en mesure de combattre de près que les Acuadretti, et leur portée utile moyenne leur donnait un rôle de javeliniers de première ligne, devant même les acuadretti, ou de celle de couvrir les arrières de ces derniers en cas de contre-attaque. L'usage de la nudité chez les Celtes au combat est ancienne et très répandue, elle consistait surtout à impressioner l'adversaire.

Saitores (archers) : Senone archers were peasants, driven from the hunters and no for war, experienced, and well equipped with short sword and even spears lays where they were in order to defending themsleves again every assaults, especially those from enemy cavalry. This gave them special habilities, highly praized, plus their natural accuracy and range. They were quite more sturdy than ordinary peasant levies, or recruited hunters as a provisional unit. They usually fought at the forefont before the main clash, softening the enemy ranks.

Saitores (archers) : Les archers Senons étaient des paysans recrutés localement, dont leurs talents de chasseur faisait l'affaire comme auxiliaires. Bien que très efficaces en embuscade, lors des batailles rangées, ils avaient pour habitude de se voir poster en avant-garde et d'arroser l'ennemi à son approche, avant le choc, et se repliaient ensuite. La portée de de ces archers restait convenable, autour de 90 à 120 mètres, mais en combat rapproché ils se trouvaient rapidement en fort mauvaise posture, n'étant ni protégés ni dotés d'autre chose qu'une dague de chasse.

Talmores (slingers) : These auxiliary peasants used the most common and ancient missile weapon, the stone. Celtic light infantry was supported by these irregulars, capable of throwing their balls up to 230 to 250 meters. In fact, they were devastating also, but easy prey in case of counterattack, especially by cavalry. it is dubious that they have been supported by spearmen, as nearly all of them were in the central formation and opened the battle, weakening the enemy first ranks before the main schock.

Talmores : Les frondeurs ont toujours fait partie des effectifs des armées Celtes, mis ils sont plus communs dans certaines régions que d'autres. On les retrouve souvent dans les montagnes arvernes, les landes de bretagne et naturellement celles du nord de la Britannie, en hibernie, et en montagne en général. Leur équipement est assez léger, et outre une dague et un bouclier, parfois en peau, un havresac pour leurs billes de fronde (souvent des pierres et silex), leur action était appréciée car souvent efficace. Ils étaient postés en avant-garde, en face des troupes ennemies, et l'arrosaient en campagnie des archers, diminuant lurs rangs avant le choc.

Cingetes (light) : These regular spear troops, litteraly "those who marched together ", were the backbone of the line infantry, although posted in the second and third line. Well-disciplined, they were well-equipped as warriors, using a long Lancia (three meters spear), and a longsword as melee weapon. They were given an helmet but no armour or perhaps an affordable leather jacket under their tunic.

Cingetes (légers) : Ces Cingetes légers étaient des combattants celtiques expérimentés, équipés de casques légers mais rarement d'armure, onéreuses; plus souvent d'une chemise de cuir sous la tunique. Ils étaient portaient la lancia (lances), l'épée, éventuellement une dague. Cette dernière était plus utilitaire que guerrière, notamment pour la chasse. Ces combattants étaient des troupes de métier, disciplinées, efficaces, opiniâtres, nombreux, mais moins expérimentés ou équipés que les Cingetes lourds. Tout bon chef de guerre pouvait compter sur elles au moment de la mêlée, puisqu'elles étaient en seconde ligne et renforçaient la première en poussant en avant, comme les hoplites Grecs.

Excinges : Those who marched out of the main army. They were brave, well-equipped, but not heavy, because agility was the key of their tactic. They marched on the wings of the main battleline, ready to take quick flanking manoeuvers, ambushes and tactical moves in general. Trustful, they attacked the enemy's flanks or rear-flanks with ferocity and effience, using their two heavy Verutum, and a long sword. The verutum was a medium-range weapon, with an impressive spearhead. Some reenacters shows that a verutum, lighter than the gaiso, was capable of a range of 40 meters. They were also lighter than the roman pila, but far more devastating than the tragula against leather protections and shields.

Excinges : Les excinges, "ceux qui marchent en dehors" littéralement, sont équipés d'une épée longue et de deux verutum, javelots longs dotés d'un très long empan métallique, utilisés pour percer les boucliers adverses, à la manière du redoutable Pilum Romain. Ils sont équipés d'un simple bouclier et rarement d'un casque, parfois une chemise légère de cuir sous leur tunique. Ils marchent sur les ailes de l'infanterie lourde, et contrent toute attaque de débordement de l'infanterie adverse, et renforcent les troupes d'élite en mêlée, une fois engagée.

Gaballocos (medium infantry): These other heavy support infantry was a multipurpose one : They were fast warriors especially trained to launch a short range, but devastating weapon : The Gaballa, litteraly "fourch". It was designed, like an heavy pilum, to pierce any shield or armor and definitely injures or kill any enemy fighter who counterattacked the light troops forward. So they were posted, like the Uerargi, at the rear of the wings troops, although some would have merge with gaps in the second ranks in the center phalanx to launch their huge missiles before the charge. The Gaballa was top-heavy, and the Romans probably knew it since the battale of the Allia in 390 bc, although their own pilum was more an evolution of local italic (esacialy Oscan) designs, it is not obvious that they ever vould have been influenced by such very heavy javelin. The Gaballocos, unlike other sirmishers, were also skilled swordsmen for close combat, and do their best when the charge was over an the melee was fierce... They can also perform flanking manoeuvers as well.

Gaballocos (medium infantry): Les Gaballacos étaient des combattants modestes, sans casques ni armures, mais dotés d'un type particulier de javelot particulièrement lourd, la Gaballa, littéralement "fourche". La hampe, à l'instar du pilum Romain tardif, était très long, lourd et épais, tandis que le fer était également très long et effilé, et toujours relativement épais. Cette arme embrochait tout ce qu'elle atteignait, avec en plus un pouvoir de percussion dévastateur. La Gaballa clouait sur place n'importe quel combattant en pleine charge. Cependant le poids de l'arme n'autorisait qu'un emport d'un ou deux missiles, également peut-être aussi utilisés comme armes d'hast improvisées, comme d'ailleurs les légionnaires avec le plus lourd de leurs deux Pilums. Les Gaballocos ne pouvaient être efficaces qu'à faible portée, entre dix et vingt mètres, plus pour des hommes entraînés. Une fois leurs projectiles lancés, ils pouvaient combattre en mêlée avec leur épée longue, apportant un précieux appoint en mêlée. Si ces troupes étaient efficaces en arrière-garde des units d'Excinges aux ailes, leur fournissant un dévastateur appui en cas de repli des troupes légères, ils étaient également aptes aux manoeuvres de flancs et au support des troupes d'élite au moment de la charge, lorsqu'un grand nombre de javelots étaient échangés à courte distance.

Ueragris : They were battle-hardened and experienced skirmishers, which carry two heavy javelins and a long sword. They were used as a heavy skirmisher unit, with special habilities in close-combat. Although wealthy enough to afford a helmet, they wore no armor to be faster enough to intercept enemy skirmishers... Efficient and agile against infantry, they were however, easy preys for cavalry. They were equipped with two Verutum or Gaballa, litteraly "fourchs", quite heavyer than any javelins, even the gaiso, and distinctive with their very long spearhead. The Gaballa was a defensive javelin, used to break a charge, with tremendous power, and usually less than 30 meters of range. It was heavy, cumbersome, devastating, armour piercing and even helmet piercing... The Ueragris ("superior attackers") could have been an heavy version of the excinges. They fought on the flanks of the melee, and efficiently backing the skirmishers at a distance, capable of hold the line in case of a quick counterattack, and break the enemy charge by the way, with their wall of Gaballa and their heavy sword and skills in melee...

Ueragris : Considérés comme des Excinges, marchant aux ailes de l'armée, ces troupes mobiles étaient considérées comme une élite, usant de javelots lourds (Gaballa ou Verutum) et se trouvaient donc en soutien de l'avant-garde. Avec un grand Scutum et leur épée longue, une dague, un casque et un plastron de cuir sous leur tunique, ils étaient taillés pour combattre en mêlée avec une efficacité redoutable. Ces "ueragri", "excinges d'élite" leur action était dévastatrice à trente mètres de distance de l'ennemi. Ils interdisaient toute contre-attaque de l'infanterie adverse, tout en étant eux-mêmes des attaquants hors-pair, en particulier contre les flancs de l'ennemi. En mêlée, ils étaient égalsement d'une grande efficacité. C'étaient des guerriers d'éducation relativement jeunes, mais très expérimentée, ayant délaissé l'usage de la lance pour celle de l'épée.

Cauaros (Champions) : Amongst early elite units, the Cauaros or Cavaros were the most famous ones. Coming from a tradition which took its roots back to the homeric age, they were the most skilled, famous, recoignised, and powerful warriors around. During Halstatt age, they were mostly heavy swordsmen, posted at the forefront and offering a singular combat with the enemy one's champion. During La Tene age, until 250 bc, they will have more social consideration, beeing highly rewarded by a king or chieftain, and usually his own retinue and bodyguards (ambactos). Their fighting techniques began to change, and they favoured the spear and close formation. They were usually posted at the first line, with the best elite units, and fight bravely to ensure victory for their own nationand keep their glorious history alive.

Cauaros (Champions) : Classés parmi les élites non nobles, les Champions étaient une très vieille "tradition" en bataille, remontant aux âges anciens, notamment ceux du bronze. Ils étaient déjà les élites de l'élite durant l'ère de Halstatt, ils létaient encore durant l'ère de la Tène, mais toutefois leur rôle était mieux défini et ils s'intégraient dans le centre de la phalange, entourés de leurs ambactes. Ils jouissaient d'une réputation considérable et d'une fortune à l'avenant, lorsqu'un titre de nobilité ne leur était pas décerné. Ils faisaient partie d'un peuple bien défini, et le chef de guerre en bataille pouvait toujours compter sur sa présence, moins pour provoquer le champion de l'adversaire dans un duel qui décidait de la bataille, mais pour soutenir le moral de toute l'armée. En 300 av.jc., un Champion faisait partie de la phalange et à ce titre combattait avec la lance et l'épée. Ce genre de combattant déjà démodé avait probablement disparu durant la guerre des Gaules (nulle mention de César).

Cingetes (Heavy) (Early La Tene I and II): Litterally "The marching ones" or "the warriors". A generic calling which could have been used for most of the gallic warrior class, but was generally used for "true" warriors, the most experienced and hardened, in fact the veteran ones. These cingetos were the oldest, thoughest warriors, the real spearhead of the whole cingetes force. They were given sometimes bronze plate discs or leather armors, although not any example of the lasts survived, due to its perishable material. The clues about them were mostly deduced from various sculptures. They were versatile, using spears, and longswords of high quality. The typical La Tene I helmet, depicted there, has been dubbed "Bérru", or "Marne", where the montefortino family descend from.

Cingetes (Heavy) (La Tene I et II): Littéralement "les marcheurs", un nom générique devenu le synonyme de "guerrier". On sous-entend "marcher ensemble", ces combattants font fonc partie d'une unité bien identifiée, et d'une caste, cele des guerriers, caractérisés par leur discipline et leurs capacités au combat. Les Cingetos étaient des piquiers équipés d'une épée pour le combat rapproché, formant la seconde ou la troisème ligne de bataille, en soutien des élites formant la "phalange" celtique en profondeur. Leurs très longues lances de trois mètres leurs permettaient d'empêcher toute contre-attaque de l'ennemi. Ils combatteit la lance au-dessus de l"épaule, technique qui n'était pas propre aux grecs anciens seulement. Du fait de la largeur du scutum, environ 55-60 cm, la phalange pouvait même être plus serrée encore que celle des Grecs. De même, ces guerriers puvaient former au besoin une forme celtique de la "tortue", propre à protéger le second et même le troisème rang contre les projectiles adverses tout en avançant au pas. Les Cingetes pouvaient également charger au besoin, et une fois en mêlée, combattaient à l'épée. Les Cingetes représentés ici sont les premiers recrutables dans le jeu, encore équipés de leurs vieux casques de style "bérru" hérités du Ve siècle et encore très courants du fait de leur prix plus réduit, transmis de génération en génération. Il était cependant lourd et peu stable et ne convenait qu'à des troupes avançant au pas ou assez statiques, comme précisément les Cingetes.

Cingetes (Late) (La Tene III - 150 bc): Meaning an equivalent to "soldiers", these were the elite professional warriors, and trained as such for a long. They were driven from the warrior class, and although non-nobles and attached to a noble as ambacti or solurii, they were recoignised as "champions" of their own and recruited by the noble chieftains as their most valuable infantry. They were weaponry experts, probably serving as swordsmasters and military advisors or officers as well; With the highest informal "rank" a non-noble could achieve, they were higly appreciated because of their almost legendary skills. Beeing a few, very costly, they are however the cream of the cream of foot soldiers, fighting with the same ferocity than the gaesate, but using the best weapons and protection as well, and cold-minded habilities in close-combat. They were the few ones that could be made nobles by other nobles and given titles, lands and honours.

Cingetes (Tardifs) (La Tene III - 150 bc): Ces Cingetes tardifs et lourds se caractérisent par un meilleur équipement, la plupart ayant pu acquérir une cuirasse de cuir, à défaut d'une côte de maille, très aux-dessus de leurs moyens. Les cuirasses de cuir Celtiques étaient remarquablement proches de celles des Grecs, plus pour des raisons de développement ergonomique empirique local que de contacts avec les Grecs, quoique l'achat de cuirasses grecques pas des Nobles Celtes ne soient pas impossible. Le protège nuque était très important, les ptéryges étaient en général larges et relativement courtes. Objet pratique, la cuirasse Celtique est une découverte relativement récente de l'archéologie, tiré d'une analyse approfondie de nombreux bas-reliefs et d'essais de reconstitution. D'imposnts phalères décorées permettaient de fermer les attaches sur la poitrine. Ces cuirasses pouvaient êtres très décorées, dans le style caractéristique de cette époque. Vers 150 av;jc., les tactiques celtiques primaient encore la phalange et les piquiers, mais beaucoup de Cingetes combattaient de manière plus libre, à l'épée avec javelots, dont la proportion s'était accrue en même temps que la désaffection pour les anciennes tactiques de bataille rangée.

Ambactes : These really impressive warriors were in fact, clients and bodyguards, chosen and attached to a noble. Sometimes confounded with the "soldurii", the last were generally of highest rank and could afford a better equipment. The "ambacti" were more "bodyguards" than "servants", ltteraly "those who march around". depending on the fortune of their master, they hold various equipments, but generally were chosen cingetes, so they fought at the first line with medium-sized lancias. In general terms, the Ambacti were chosen within the best in the warrior class and attached -possibly to the death- to their master, beneficing of the same wealth. They were probably the very first ones in the warrior class to dream about buying a chainmail, as soon as 200 bc...

Ambactes : Les Ambactes, que l'on peu traduire par "serviteurs" étaient en réalité non de simples "servants" de la suite, mais des combattants chervonnés choisis par le noble ou le combattant d'élite pour assuer sa protection, tant que sa portune le lui permet. C'est en effet un type d'infanterie lourde indissociable des liens de clientélisme existant depuis les alliances entre peuples jusqu'au milieur de la phalange entre combattants. Une véritable chaîne d'obligés qui avait son avantage au combat. Quoique moins réputés que les Soldures, véritables gardes du corps d'élite, les Ambactes étaient relativement moins bien équipés, rares étant ceux capables de s'offrir une côte de maille. La plupart optaient pour une simple cuirasse de cuir plus accessible. Ils combattaient au premier rang de la phalange parmi les troupes d'élite et nobles.

Solduries (early - 200 bc) : They were really an heavy foot bodyguard, the equivalent of the "royal guard" in many antique armies. Well described by Caesar, they were warriors, non-nobles, but highly skilled cingetos and ambactos chosen for their fame and bravery, always valued among the celts. It was a privilege, and the Ambact was also rewarded with very high wages, he was included in the small permanent cicrle and court of the noble, as a foot companion. Their equipment was the best of the best, almost the same than any noble. They were a late unit and probably all of them could have been equipped witth superior-quality chainmail, a sign of their wealthiness. But this princial way of living was to be paid to the highest price, as they were not supposed to survinve the death of their master, In the first ine, they were given, like many late units, a very long and heavy sword, round-topped, and one or two heavy Verutum. Their helmets were probably well-decorated also. Some of these could have fought with a spear, in the phalanx as well.

Solduries (2 alternative model/skin - early - 200 bc) : Signifiant "marchant autour", le nom de soldure est cité plusieurs fois dans des textes, celui de César les dépeignant étant le plus fameux. Dans le système de clientélisme pratiqué dans la société des guerriers, les Soldures étaient le rang le plus haut. Ils étaient attachés au noble le plus fortuné, généralement le Roi lui-même. Ils étaient dotés de ce qui se faisait de mieux, notamment ils étaient les seuls parmi les combattants non-nobles à pouvoir disposer d'une côte de maille. Les premiers soldures prenaient place dans la phalange. Dotés de lances de 2.30, 2.50 m environ, et d'une épée longue de très grande qualité, ils combattaient en première ligne, ne formant q'une fraction infirme des combattants présents. Bénéficiant d'une haute considération et d'un train de vie fastueux, ils payaient ces avantages en retour en donnant leur vie pour protéger le Roi, quitte à se suicider si ce dernier venait à périr, ce que décrit César.

Uercingetes ("superior warriors") : They can be assimilated as an evolved, late version of the classic champions. The Champions were not two-hand swordsmen fighting half naked, but well-educated warriors particularly renowned as talented warriors, and equipped as best, with heavy armors and high level quality swords and spears. They were not nobles but famous enough to have their own clients and bodyguards, generally Ambactes. These elite Cingetes were la crême de la crême, professional, highly skilled veterans, with the best equipments around. They could afford the very expensive chainmail with its surcoat of mail for adding protection to the shoulders and chest. Only the king and very high lineage noble could expect enlist some of these warriors as "solduries"... It would have been not unusual to these uercingetes to have their own Ambactes, so that the primary circle of defence and loyalty around the high noble was made of other crcles of same clientelism, up the the lesser warriors. This pyramidal loyalty was no doubt such a possible form of trustful military organization, typical of the gauls.

Uercingetes ("guerriers superieurs") : Ces combatants d'élite parmi l'élite (Vercingétorix lui-même fut nommé d'après ce rang de guerrier à titre honorifique), n'étaient pas forcément des nobles, mais une forme d'infanterie lourde combattant à l'épée et avec des javelots lourds comme le Verutum. Ils étaient complémentaires des guerriers armés de lance en première ligne et supportaient leur charge avec leurs projectiles. Etat assimilable à des évolutions des champions, leur réputation en bataille suffisait à soutenir le moral de l'armée entière. Ils disposaient éventuellement de leurs propres ambactes, et furent partie des premiers à se doter de la très onéreuse côte de mailles, comme ici, une armure de cuir recouverte de mailles de fer, assurant une protection excellente toute en étant moijs onéreux que les grandes côtes renforcées des nobles.

Solduries (swordsmen - alternative models skins : #1 early 200 bc style, #2 late 50 bc style) : They were really an heavy foot bodyguard, the equivalent of the "royal guard" in many antique armies. Well described by Caesar, they were warriors, perhaps non-nobles, but highly skilled cingetos and ambactos chosen for their fame and bravery, always valued among the celts. It was a privilege, and the Ambact was also rewarded with very high wages, he was included in the small permanent cicrle and court of the noble, as a foot companion. Their equipment was the best of the best, almost the same than any noble. They were a late unit and probably all of them could have been equipped witth superior-quality chainmail, a sign of their wealthiness. But this princial way of living was to be paid to the highest price, as they were not supposed to survinve the death of their master, In the first ine, they were given, like many late units, a very long and heavy sword, round-topped, and one or two heavy Verutum. Their helmets were probably well-decorated also.

Solduries (épéistes, 50 av.jc.) : Ces gardes du corps Royaux étaient en période tardive, plus astreint au combat en phalange, mais au style plus libre et plus chaotique qui existait durant la guerre des Gaules. Ils disposaient de deux Vertutum, javelots extra-lourds à lancer à courte distance sur l'ennemi, dont les effets pouvaient s'apparenter à ceux des pila. Leurs épées étaient très longue, presque 80 cm, et au bout très arrondi, ce qui en faisaient des armes de taille uniquement. Les coups données étaient ainsi redoutables, mais les combattants se fatiguaient plus vite, sans peut-être tomber dans le travers que décrit Tite-Live parlant de la bataille de sentinum en 295, disant des Boiens, Senons et de leurs alliés qu'ils étaient au début de la bataille "plus que des hommes" "fondaient en eau", et étaient à la fin, "moins que des femmes"... Les modèles de casques qu'ils portaient étaient simples, sans fioritures, de même que les boucliers, aux motifs simplifiés avec un umbo "papillon" ou simplement rond. Les casques Romains impérieux s'inspirèrent directement des casques de ces élites Gauloises, proches des "Port", "Agen", ou "Coolus" renforcés.

Arjos (early La Tene II-III - two alternative models/skins early and mid-late) : Foot-fightning nobles. They were numerous, and choosed to fight on foot rather to be more safely on horse. Such attitude was less motivated by the quest of personal glory, then an immediate choice to be in the heart of their troops for motivating them. These Arjos were given naturally the best equipments, including impressive helmets, highly decorated in order to be seen in the melee like a standard. The early Nobles used to fight in a phalanx, on the first line. It was their normal place, and they were surrounded by early foot bodyguards (the Soldurii). These warriors were the first to afford chainmails amongst the warriors in 300 bc. The very first Arjos were still equipped with Halstatt and early La Tene I bronze armors. They were still well-suited for phalanx warfare, but the chainmail quickly came in favor of these, until beeing gradually "democratized". In 100 bc, probably all the nobles, their solduries and Ambactes, and other elite units, were all given chainmails instead of usual leather armors.

Arjos La Tene II-III - unités alternatives) : Nobles combattant à pied. Nombreux au sein des armées vers 300 av.jc; du fait de la préférence pour une tactique plus complexe et axée sur une masse de fantassins avançant plus lentement, ils prenaient place au premier rang de la phalange, comme l'imposait le code des guerriers et de l'honneur gaulois, les "cahmpions", de manières général, les élites s'affrontant en premier pour décider de l'issue de la bataile, avec la masse des fantassins derrière en renfort. Dotés d'une lance, d'une épée longue, ils possédaient des côtes de mailles et des casques souvent très décorés à cette époque, faits pour les faire reconnaître au plus forts de la bataille. Ils étaient entourés par leurs nombreux Ambactes et leur suite les suivaient avec le train de bagages. Les décorations étaient variées, comme des plumes fixées sur un arbre fragile, une crête de plumes, un grand panache de crin de cheval, et le sempiternel sayon enroulé aux couleurs de leur peuple.

Arjos (Late - La Tene Final -50 bc) : Foot-fightning nobles. Late nobles were sword rathe than spear fightning. It was the evolution of tactics of the Celtic armies prior to the Cesarean conquest. They were still somptuously equipped, and have their own retinue and evolved bodyguards (Soldurii). They used to launche javelins before the impact, supported by numerous elite troops. Other nobles usually fought on horses, and others on carts. They were equipped with twice-reinforced evolved chainmails, and simple helmets, like here, decorated with gold fringe and gold insert in their paragnathides (cheek-guards). They tactic reflect the relative desaffection for the ancient, well-organized battle-tactic which relied on a central phalanx and on spearmen of all kinds.

Arjos (Tarifs - La Tene Final -50 bc) : nobles épéistes. Au moment de la guerre des Gaules, la tactique celtique s'était singulièrement appauvrie, et les nobles prenaient place dans une vaste ligne de bataille plus ou moins bien hiérarchisée. Toujours entourés de leurs ambactes, ils combattaient cette fois à l'épée, avec deux lourds Verutum en apoint pour la charge. Leurs casques s'étaient singulièrement simplifiés, de même que leurs boucliers. Leur épée très longue et très droite était un outil de taille exceptionnel, mais exigeant une grande endurance du porteur...

Gaiseredus : (Light cavalry). These light cavalrymen were very efficient as a screening and scouting fast unit. They were equipped with several affordable gaiso for skirmishing and also for close-combat. Best for harrassing enemy light infantry and cavalry, they protect their own flanks and can drive out any enemy cavalry around. Although lightly equipped, these were very skilled horsemen capable of complex tactics, mounted on small but nervous poneys. They used various light shields of great size to improve their stability, and more ammunition thanks to their javelin scabbards.

Gaiseredus : (cavalerie légère). Les gaiseredus étaient uen forme de cavalerie légère très commune, accompaggant l'armée et postée aux ailes, en avant-garde, reflêtant le rôle des Acuadretti pour l'infanterie. Ils portaient un simple bouclier d'osier ou de bois léger et sommaire, et un certain nombre de javelots de type Gaiso, d'ou leur nom. Très agiles et expérimentés, ils ne pouvaient pas espérer survivre en combat rapproché, mais harcelaient les ailes et l'arrière de l'ennemi avec une grande célérité. La cavalerie légère la plus célèbre se recrutait parmi les Aquitains.

Gaiseporedes : Medium cavalry; These cavalrymen "epos" meaning "mounted" were generally not nobles but warriors wealthier enough to afford a horse. Those who possessed a domain, and a few slaves could have been such cavalrymen. They were not highly regarded by the mounted nobles, for their origins, but they were in fact useful as beeing, if not well equipped, highly skilled and versatile; Just as mounted warriors, they were versatile, carrying several javelins, a spear, and a sword or even an axe. This gave this unit a large panel of duties, from skirmishing to melee combat, fightning other cavalry units, chasing light infantry, routed units, scouting... But in fact the Senone cavalry was limited, the real tradition of fight beeing on foot, always, but better and wider than the arverni, mostly due to their large plains which allows them to bread horses and training them for war. The gaiseporedes were practical successors, well equipped, of the Gaiseredus.

Gaiseporedes :Cavalerie moyenne; Ces cavaliers "epos" signifiant "montés" n'étaient pas des nobles, mais des guerriers assez fortunés poue s'offrir une monture. Ils agissaient en tant que protecteurs des nobles et fournissant un écran de javelots lourds -(gaiso), combattants ensuite de près avec gaiso et épée longue. Ce sont une version évoluée des Gauiseredus, dotés de casques légers comme le "Coolus", et d'un plastron en cuir sous leur tunique.

Eporedes (mounted Ambactes) : Heavy cavalrymen. The highest rank nobles in all indo-european origin usually fought on horse, although sometime on a war chariot; The Haedui possess however one of the finest cavalry of the time, partly due to their breeding regions, and the wealthiness ot the aedui noblemen. The brihentin were equipped with a spear and a longsword. They were keeped in reserve to deiver the fatal blow, charging and then fought in melee. But they would probaly not been dismounted, to allow them the faculty of quickly fleeing, and charge again, in the same maneer than the noble charioteers. They were highly skilled, and priced, as beeing recruited by Hannibal and Caesar in their respective campaigns.

Eporedes (Ambactes montés) : Ces cavaliers lourds montaient de grands chevaux d'importation et disposaient du même équipement que les Ambactes à pied en 300 av;jc. Ils formaient une cavalerie très réputée, prenant place aux ailes de la ligne de bataille. Outre leur grand scutum, leur lance, leur classique sayon enroulé, leur épée longue (jusqu'à 90 cm en période tardive), ils portaient des armures de cuir et casques de style montefortino. Leur équipement allait varier par la suite. Accompagnant les nobles, ils assuraient leur protection, et contournaient avec eux les lignes de l'adversaire pour des attaques "de rupture" des flancs et de l'arrière.

Rigeporedes (general1) : In fact, mounted bodyguards or the Vergobret, the highest authority in the aedui federation. Although the last was not allowed to leave the single haedui territory, these bodyguards were attached to the elected general for the whole confederacy during a campaign. They were higest rank nobles, driven from veteran noble cavalrymen as well as "companions", or nobles of the same house. Highly skilled and equipped, they could give the supreme crushing blow that disrupt enemy formations, allowing other units to use the gaps created.

Rigeporedes (general1) : Ces cavaliers lourds d'élite formaient la garde du Roi ou du général en bataille. Ils étaient dotés du meilleur équipement possible, et portaient souvent des casques au style flamboyant. outre leurs lances, ils combattaient ensuite de près avec leur épée, qui allait s'allonger encore en période tardive. Leurs chevaux étaient importés sur bassin méditerraneén, voir pour le Roi et ses proches, d'Asie mineure, où les grands eet très chers destriers Niséens transitaient.

Rigeporedes (general2) : In fact, mounted bodyguards or the Vergobret, the highest authority in the aedui federation. Although the last was not allowed to leave the single haedui territory, these bodyguards were attached to the elected general for the whole confederacy during a campaign. They were higest rank nobles, driven from veteran noble cavalrymen as well as "companions", or nobles of the same house. Highly skilled and equipped, they could give the supreme crushing blow that disrupt enemy formations, allowing other units to use the gaps created.

Rigeporedes (general2) : Ces cavaliers tarifs ne différaient pas dans leur tactique, quoique bien plus nombreux, du fait de l'accent mis sur la mobilité en pérode tardive. Il s'agissait d'effectifs très importants, la plupart des nobles combattant cette fois montés. La côte de maille était commune, les casques se faisaient plus sobres, les épées plus longues encore (jusqu'à 90 cm). César enrôla l'essentiel de sa cavalerie parmi les Nobles gaulois, notamment Héduens.

GALLIC AOR

Allied Excinges (allied light swordsmen) : This allied infantry was a current and versatile infantry from client tribes. This small nation was not powerful enough to gather massive elite phalanx battlelines, and relied upon more common troops of bagaudas spearmen and shortswordsmen, along the rare nobles. These swordsmen were equipped with llght javelins and made efficient auxiliary Excinges.

Allied Excinges (allied light swordsmen) : Les épéistes légers, sommairement armés, forment en général une partie courante de l'infanterie professionelle légère. Il s'agit de guerriers modestes, envoyés combattre aux ailes. Les lignes de bataille Senones pouvaient contenir éventuellement des troupes de leurs tribus clientes. ces épéistes disposent, outre de leur épée, de quelques javelots d'appoint. Ils n'ont que peu de protection mais sont par conséquent rapides et donc capables des manoeuvres tactiques des Excinges.

Aulerci Batores : These light troops were send as auxiliaries by the nearby Aulerci, a poor client tribe from the Senones. They had the same duty of current peasant troops armed with maces, axes, and other spiked devices: They throw their javelins and then charge in order to disrupt eney formation. They were chosen men, impressive, but with no training or protection, and could be expendable but efficient if wisely used. Their fast-made, second-rate scutums were their only protection against fire.

Aulerci Batores : Ces troupes légères paysannes sont envoyées par les nations clientes des senones en renfort de leurs propres attaquants choisis. Ce sont des hommes plus capables que les paysans levés en masse, car solides et équipés pour un rôle très offensif malgré leur manque de protection. Ils utilisent des javelots, haches, gourdins et d'autres instruments agricoles.

Acucingetes : The "fast warriors" were Cingetes fightning with javelins instead if spear and placed in the melee, interlocked with other spear troops. Their main duty was to launch their javelins just before the final clash, at short distance. They don't charge themselves, and wait thet the first lines have collided and merged to surge into the melee and use their medium or short sword with great agility to fight enountered spearmen, now encumbered by their long lancias. They made also an elite skirmisher infantry, equipped with several heavy javelins, marching with the Excinges, and sustained their assault. They made also perfect flanking units, skilled and well equipped for outmanoeuvering tactics.

Acucingetes : Ces "guerriers rapides" étaient des Cingetes armés de javelots et d'une épée en complément des piquiers. leur rôle était capital lors de la charge, puisqu'ils lançaient leurs projectiles sur l'adversaire pour briser ses lignes, et agissaient ensuite en mêlée, en soutien des troupes d'élites. En étant utilisés aux côtés des Excinges, leur expérience et leur equipement en faisaient un soutin très efficace pour les manoeuvres de flanc.

Cingetes Curoas : These mercenary cingetes were highly skilled, well-paid professional warriors, coming from any nation in gaul. They were well-equipped and very hardy, used mostly as auxiliary javelinmen and swordsmen, with a tremendous efficience. Their javelins were heavy ones, probably Tragula or gaballa with very long spearheads, perfect for piercing and struck together enemy's shields in close formation. The same tactic was applied by Casear agains Celtic phalanx with his own legionaries using their pila with the same effects.

Cingetes Curoas : Ces mercanaires professionels étaient un complément des troupes auxiliaires fournies apr les Nations clientes. Un Roi pouvait mobiliser un grand nombre de mercenaires car cette profession était très courante pour un guerrier n'ayant pas de maître. Ces professionnels rompus à toutes sortes de tactiques étaient aussi bien piquiers qu'épéistes et javeliniers lourds. Ils pouvaient rouver leur place aussi bien aux ailes qu'au centre du dispositif.

Excingovanos : These "attacker's killers" were expert troops from client nations. These were Lingones, Aulerci, Parisii and Cenomani. As auxiliaries, their take part of the wings, protecting even excinges. Generally the best troops of these allies, they were educated warriors, equipped with heavy javelins (Gaballa or Verutum), and given the task to prevent any flanking manoeuvers by the enemy's own excinges, inclusing the bests. So they were not heavily protected but fast and reliable, with termendous skills as skirmishers, acting as real "interceptors", to the point that they were often far beyond the limits of the wings, if not walking completely oustide.

Excingovanos : Littéralement "tueurs d' attaquants" , ces javeliniers lourds et épéistes d'élite sont issus des Nations alliées et clientes des Senons. Ils ont pour rôle premier d'empêcher tout débordement de l'adversaire en neutralisant les attaquants adverses qui manoeuvrent en dehors des ailes pour tenter d'encercler leur ennemi. Leur rôle est ainsi assez proche de ceux des Excinges, mais ils sont en général plus âgés et surtout bien plus expérimentés. Leur équipement reste assez proche de celui des Excinges, mais ils ont en plus une supériorité au combat qui les fait craindre de l'adversaire, laissant passer les javeliniers légers et traquant les meilleurs combattants adverses.

Gaisates curoas : The famous Gaisates were alos known as mercenaries, and there is little evidence that they fought naked each time. For Polybius, which decribed them well during the battle of Telamon, they just lay down their clothes "not to be embarrassed in their moves". However Celts usualy fought naked. The main reason was not practical, although they were effectively freed of movements and lighter, this was mostly both to impress their enemies and allies, and showing their bravery while they had no fear of beeing completely unprotected. The "Gaesate" were gaesos owners, not always described as fightning with heavy helmets, long heavy sword, but always carrying gaeso and probably richer than usual Gaesates, so most of them would probably have better quality weapons and helmet. They were not also supreme schock troops, veteran warriors with impressive morale and skills, as their poor protection and skirmishing warfare shows...

Gaisates curoas : Ces fameux mercenaires sont bien embarrassant pour l'histoire antique. On ne sait toujours pas avec précision s'il s'agissait d'un peuple ou d'un genre de merceaires armés seulement de Gaiso. les troupes de ce type étaient en général mobilisées en tant que combatants légers et postés en avant-agre, en soutien des Acuadretti, lequels lançaient leurs projectiles à très gande distance. Les gaesates selon polybe à la bataille de Télamon étaient des mercenaires venus de la valée du Rhône, et la plupart combatirent en avant-garde à la manière des Gaisates habituels, il est cependant possible que du fait de leur qualité de mercenaires et de la solde qu'on leur donnait, leur équipement ait été bien meilleur que celui des gaisates habituels, incluant casque, épée longue, avec une qualité offensive supérieure.

Cenomani Gaiserepos : This medium skirmisher cavalry was the best that the Cenomani can offer. As gallic cavalrymen, they were highly skilled, launching gaiso and fight closer with a very long sword. Well-equipped they were professional horsemen and made the bulk of any cavalry attack on the rear and wings of the enemy.

Cenomani Gaiserepos : Cette cavalerie moyenne des alliés Cénomans, grande nation qui s'illustra également en gaule Cisalpine, était armée de plusieurs Gaiso et d'une épée longue pour le combat rapproché. Bien équipés, ces combattants pouvaient mettre pied à terre si la situation l'exigeait. Leur rôle premier consistait à neutraliser la cavalerie ennemie, postée aux ailes.

 

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